Engrammaire, un verbe rĂ©flĂ©chi est, en gros, un verbe dont l'objet direct est le mĂȘme que son sujet; pour Exemple, "Je me lave".Plus gĂ©nĂ©ralement, un verbe rĂ©flĂ©chi a le mĂȘme agent sĂ©mantique et patient (typiquement reprĂ©sentĂ© syntaxiquement par le sujet et l'objet direct).. DĂšs lors, comment identifie-t-on un verbe rĂ©flĂ©chi ? Si le sujet dans une phrase exĂ©cute une action Table des matiĂšres Qui est dotĂ© d'un esprit rĂ©flĂ©chi ? Quel est le contraire du mot rĂ©flĂ©chi ? Quels sont les deux sens du verbe rĂ©flĂ©chir ? Comment ĂȘtre une personne reflechie ? C'est quoi la spontanĂ©itĂ© ? Comment Appelle-t-on celui qui rĂ©flĂ©chit ? Comment Appelle-t-on quelqu'un qui rĂ©flĂ©chit avant d'agir ? Quelle est la diffĂ©rence entre penser et rĂ©flĂ©chir ? Qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir synonyme ? Comment devenir calme et silencieux ? Comment devenir une personne posĂ©e ? Comment faire pour ĂȘtre spontanĂ© ? Qui a un caractĂšre spontanĂ© ? Qui rĂ©flĂ©chit beaucoup ? Qui rĂ©flĂ©chit synonyme ? Comment on appelle quelqu'un qui pense beaucoup ? Comment Appelle-t-on une personne qui cache ses sentiments ? Qui est dotĂ© d'un esprit rĂ©flĂ©chi ? Être dotĂ© d'un esprit pĂ©nĂ©trant et rĂ©flĂ©chi, qui comprend rapidement et avec clairvoyance. Exemple Sherlock Holmes Ă©tait trĂšs perspicace. Étymologie du latin "perspicax" lui mĂȘme dĂ©rivĂ© de "perspicere" qui signifie voir Ă  travers, percevoir. Quel est le contraire du mot rĂ©flĂ©chi ? renvoyĂ©, en parlant d'un son, d'un rayon, etc. Quels sont les deux sens du verbe rĂ©flĂ©chir ? RĂ©flĂ©chir, au sens littĂ©ral, Ă©voque le fait de reflĂ©ter et renvoyer la lumiĂšre. Le sens s'est Ă©largi pour caractĂ©riser le fait d'utiliser et d'entraĂźner son raisonnement. Comment ĂȘtre une personne reflechie ? Restez calme. Cela pourrait ĂȘtre plus facile Ă  dire qu'Ă  faire, mais un des facteurs les plus importants Ă  prendre en compte pour rĂ©flĂ©chir est le calme et si possible, la solitude. DĂ©tendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extĂ©rieures. C'est quoi la spontanĂ©itĂ© ? Se dit de quelqu'un qui obĂ©it Ă  ses premiĂšres impulsions, qui exprime sans dĂ©tour ce qu'il pense Un garçon trĂšs spontanĂ©. Comment Appelle-t-on celui qui rĂ©flĂ©chit ? rĂ©flĂ©chi adj. Comment Appelle-t-on quelqu'un qui rĂ©flĂ©chit avant d'agir ? ÉvaporĂ©s. Qui ne rĂ©flĂ©chissent pas avant d'agir. Quelle est la diffĂ©rence entre penser et rĂ©flĂ©chir ? RĂ©flĂ©chir, c'est travailler dans sa tĂȘte, essayer de trouver des solutions Ă  un problĂšme, ou faire du calcul mental. Cela prend gĂ©nĂ©ralement du temps. Par contre, penser, c'est lorsqu'une idĂ©e nous vient en tĂȘte; cette action ne nĂ©cessite pas forcĂ©ment un effort intellectuel. Qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir synonyme ? Autres synonymes possiblesSynonymeNombre de lettresTĂ©mĂ©ritĂ©8 lettresReflĂ©ter8 lettresMĂ©ninges8 lettresMurement8 lettres56 autres lignes Comment devenir calme et silencieux ? Essayez de ne pas ĂȘtre trop silencieux lorsque vous rencontrez quelqu'un pour la premiĂšre fois. Cette personne pourrait penser que vous ĂȘtes bizarre et que vous n'avez rien Ă  dire. Essayez plutĂŽt de trouver un Ă©quilibre pour Ă©couter cette personne et pour lui poser des questions Ă  son propos. Ne parlez pas inutilement. Comment devenir une personne posĂ©e ? C'est l'une des conditions sine qua non pour se sentir plus apaisĂ©e le bien-ĂȘtre. Alimentation Ă©quilibrĂ©e, pratique sportive rĂ©guliĂšre, sommeil, autant de paramĂštres Ă  ne pas nĂ©gliger lorsqu'on aspire Ă  un peu plus de sĂ©rĂ©nitĂ© personnelle. On se chouchoute et on pense Ă  soi. Comment faire pour ĂȘtre spontanĂ© ? 5 façons simples de devenir plus spontanĂ©Faite quelque chose sans trop y rĂ©flĂ©chir. La spontanĂ©itĂ© commence par lĂ . ... Passez du temps avec un enfant. Sortez de votre petit monde pour explorer celui des enfants. ... Remplacez la peur par l'instinct et la curiositĂ© ... Commencez petit. ... Attendez-vous au meilleur. Qui a un caractĂšre spontanĂ© ? CaractĂšre spontanĂ©, nature spontanĂ©e, CaractĂšre franc, ouvert, disposition Ă  agir avec Ă©lan, Ă  suivre le premier mouvement. SPONTANÉ se dit, en termes de Physiologie, des Mouvements qui s'exĂ©cutent d'eux-mĂȘmes ou sans cause extĂ©rieure apparente. Qui rĂ©flĂ©chit beaucoup ? Ceux qui rĂ©flĂ©chissent trop ont tendance Ă  tout analyser, mais aussi Ă  analyser les personnes avec qui ils sont. Soyez prĂȘte Ă  avoir une rĂ©ponse pour tout. Et soyez prĂȘte Ă  avoir parfois des conversations difficiles comme toutes les autres relations dans le monde. Surtout, vous devez ĂȘtre affectueuxse. Qui rĂ©flĂ©chit synonyme ? Synonymes de Comment on appelle quelqu'un qui pense beaucoup ? Le mot juste volubile, bavard, prolixe
 Comment Appelle-t-on une personne qui cache ses sentiments ? î Ź impassible. 1. Qui ne laisse pas voir son Ă©motion, ses sentiments, qui montre un calme imperturbable Rester impassible devant le danger.
Cest ĂȘtre Ă©puisĂ©, tant Ă©motionnellement que physiquement. Ce sont des pensĂ©es qui ne s’arrĂȘtent jamais, ne ralentissent jamais. Trop rĂ©flĂ©chir et sur-analyser, c’est ce moment suspendu dans le temps entre deux messages. Ce moment plein de questionnements et de doutes. C’est Ă©crire et supprimer et envoyer Ă  nouveau, piĂ©gĂ©s
Table des matiĂšres Comment conjuguer le verbe rĂ©flĂ©chir au passĂ© composĂ© ? Comment il rĂ©flĂ©chit ? Quel groupe le verbe rĂ©flĂ©chir ? Comment rĂ©flĂ©chir sur soi ? Comment rĂ©flĂ©chir sur sa vie ? Qu'est-ce qu'un verbe pronominal de sens rĂ©flĂ©chi ? Pourquoi rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? Comment agir sans rĂ©flĂ©chir ? Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal rĂ©flĂ©chi ? Quels sont les verbes pronominaux rĂ©flĂ©chis ? Comment rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? Est-il difficile de penser par soi-mĂȘme ? Qu'est-ce que rĂ©flĂ©chir en philosophie ? Pourquoi il est important de rĂ©flĂ©chir ? Pourquoi mon cerveau pense tout le temps ? Est-il possible d'arrĂȘter de penser ? Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal dans une phrase ? Comment conjuguer le verbe rĂ©flĂ©chir au passĂ© composĂ© ? PassĂ© composĂ©j'ai as a avons avez ont rĂ©flĂ©chi. Comment il rĂ©flĂ©chit ? Cela pourrait ĂȘtre plus facile Ă  dire qu'Ă  faire, mais un des facteurs les plus importants Ă  prendre en compte pour rĂ©flĂ©chir est le calme et si possible, la solitude. DĂ©tendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extĂ©rieures. Quel groupe le verbe rĂ©flĂ©chir ? verbe transitif du 2e groupe. Comment rĂ©flĂ©chir sur soi ? RĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme, c'est donc d'abord avoir le courage de se poser des questions Ă  chaque fois qu'on a un doute, mĂȘme si cela est parfois difficile, et essayer de se forger une opinion personnelle en s'appuyant sur des arguments sĂ©rieux, auxquels on a rĂ©flĂ©chi, et sur des valeurs auxquelles on tient. Comment rĂ©flĂ©chir sur sa vie ? Recherchez par vous mĂȘme comment le monde tourne dans sa globalitĂ©, cherchez par vous-mĂȘme le potentiel de l'ĂȘtre humain, cherchez par vous-mĂȘme Ă  donner un sens Ă  votre vie, car oui notre existence Ă  un sens, il faut pour cela retrouver l'essence mĂȘme de notre nature. Qu'est-ce qu'un verbe pronominal de sens rĂ©flĂ©chi ? Un verbe pronominal est de sens rĂ©flĂ©chi quand le sujet dĂ©signe un agent exerçant une action sur lui-mĂȘme physiquement, mentalement
, ou dans son intĂ©rĂȘt. Dans ce cas, le pronom rĂ©flĂ©chi dĂ©signe l'agent lui-mĂȘme, et est en mĂȘme temps l'objet de l'action. Pourquoi rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? Penser par soi-mĂȘme, c'est s'affranchir des prĂ©jugĂ©s, c'est-Ă -dire, des pensĂ©es toutes faites. ... Penser par soi-mĂȘme c'est avoir pris du recul par rapport Ă  une idĂ©e, c'est savoir au minimum pourquoi on a cette idĂ©e en nous, pourquoi on y adhĂšre, ce qu'elle signifie profondĂ©ment. Comment agir sans rĂ©flĂ©chir ? Ne cherchez pas Ă  interprĂ©ter, soyez juste attentif Ă  ce que vous observez et ressentez, sans manipuler » de pensĂ©es Ă  ce propos, sans partir avec votre tĂȘte Ă  penser ». Laissez vos pensĂ©es un peu de cĂŽtĂ© sauf quand il faut rĂ©flĂ©chir Ă  quelque chose de prĂ©cis pour rester concentrĂ© sur vos sensations
 Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal rĂ©flĂ©chi ? Le verbe pronominal a le sens rĂ©flĂ©chi s'il marque que l'action se rĂ©flĂ©chit sur le complĂ©ment qui reprĂ©sente le sujet. Le verbe pronominal a le sens rĂ©ciproque s'il marque que l'action est faite par plusieurs ĂȘtres agissant l'un sur l'autre. Quels sont les verbes pronominaux rĂ©flĂ©chis ? Un verbe pronominal rĂ©flĂ©chi exprime une action que le sujet fait sur lui-mĂȘme Je me lave. Le verbe pronominal rĂ©ciproque exprime une action Ă  la fois accomplie et reçue par chacun des acteurs de l'action. Tous les enfants se sont regardĂ©s. Comment rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? S'observer pour mieux se connaitre Savoir identifier ce qui nous plait et ce qui nous agace, ce qui nous motive et ce qui nous Ă©nerve. C'est se regarder d'un peu loin, d'un peu haut, oser observer nos attitudes et comportements, nos rĂ©flexes, nos limites, sans jugement, juste en prenant note. Est-il difficile de penser par soi-mĂȘme ? Commentaire. Kant, le grand philosophe, nous posait dĂ©jĂ  la question Il est difficile de penser par soi mĂȘme ». Qu'est-ce que rĂ©flĂ©chir en philosophie ? RĂ©flĂ©chir, c'est ĂȘtre attentif Ă  des idĂ©es, et c'est ainsi, en tout cas, que l'entend le langage courant toutes les fois que j'arrĂȘte une idĂ©e au passage pour l'apprĂ©cier, pour la comparer Ă  d'autres, pour l'analyser, pour la faire passer du confus au clair, je rĂ©flĂ©chis. Pourquoi il est important de rĂ©flĂ©chir ? Pourquoi rĂ©flĂ©chir ? La capacitĂ© de rĂ©flĂ©chir est ce qui distingue le mieux l'homme des autres animaux. C'est cette capacitĂ© qui permet Ă  notre civilisation de se dĂ©velopper, en bien et en mal. Pourquoi mon cerveau pense tout le temps ? Pourquoi certains disent-ils qu'ils pensent trop ? Ils ont les cinq sens plus dĂ©veloppĂ©s et en alerte que la moyenne. Leur cerveau trie moins les informations pertinentes. SollicitĂ©s en permanence, ils gĂšrent beaucoup de stimulations. Est-il possible d'arrĂȘter de penser ? “En neurosciences, toutes les activitĂ©s cĂ©rĂ©brales sont des pensĂ©es. Qu'on soit en phase de sommeil, dans le coma ou Ă©veillĂ©, le cerveau est en activitĂ©, donc produit des pensĂ©es. Il peut moduler son activitĂ©, mais ne s'arrĂȘte jamais. ... Cela dit, tout dĂ©pend de ce que vous aviez en tĂȘte en utilisant le terme “penser”. Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal dans une phrase ? Le verbe pronominal est un verbe toujours accompagnĂ© d'un pronom personnel Ă  la mĂȘme personne grammaticale que le sujet et qui se conjugue seulement avec l'auxiliaire ĂȘtre aux temps composĂ©s. Une phrase contenant un verbe pronominal renferme deux pronoms de la mĂȘme personne qui se suivent. DĂ©finitiondu verbe rĂ©flĂ©chir 1) Penser longuement Ă  quelque chose 2) Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus (ex : le miroir rĂ©flĂ©chit la Ce dictionnaire contient 68 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe rĂ©flĂ©chir. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur rĂ©flĂ©chir issus des quatre coins du monde Le Français aime avant de rĂ©flĂ©chir, mais quand il se met Ă  rĂ©flĂ©chir il n'aime dĂ©jĂ  plus ! Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 RĂ©flĂ©chir, c'est nier ce que l'on croit. Alain ; Les propos sur la religion 1938 Il y a des choses sans importance qu'il vaut mieux ne pas perdre son temps Ă  y rĂ©flĂ©chir. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 PensĂ©es, rĂ©flexions, maximes – et jeux de mots. Il ne faut pas s'Ă©tonner de leur mĂ©lancolie ni de leur pessimisme. On ne rĂ©flĂ©chit pas lorsque l'on est heureux. Sacha Guitry ; Les femmes et l'amour 1935 Le retard employĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir tient lieu de diligence. Publilius Syrus ; Les sentences et adages - Ier s. av. On prend beaucoup d'effort et l'on dilapide bien des jours Ă  apprendre quoi penser, alors que presque rien n'est employĂ© Ă  enseigner l'art de rĂ©flĂ©chir. Georg Christoph Lichtenberg ; Le miroir de l'Ăąme 1799 Avant de s'embarquer dans une aventure, il faut y rĂ©flĂ©chir longtemps. Charles de Saint-Évremond ; Les maximes et prĂ©ceptes de conduite 1692 Rien ne sert de penser, il faut rĂ©flĂ©chir avant. Pierre Dac ; Y'a du mou dans la corde Ă  noeuds - Ed. Julliard 1995 Un caprice doit nous faire rĂ©flĂ©chir, c'est le valet qui s'installe chez nous. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 L'homme n'est ordinairement qu'une machine, ce n'est que dans le malheur ou dans la vieillesse qu'il s'avise trop tard de rĂ©flĂ©chir. François Pouqueville ; Voyage de la GrĂšce 1820-1822 Habituons les enfants Ă  faire le bien sans rĂ©flĂ©chir. C'est plus sĂ»r. Albert Guinon ; Le Figaro, le 29 mai 1909. Cesse de rĂ©flĂ©chir, ne pense qu'au but et compte pour rien les obstacles. RĂ©my de Gourmont ; Sixtine 1890 Le nombre de partis baptisĂ©s front » rappelle que, en dĂ©pit des divagations de ses leaders, la politique doit constituer un acte rĂ©flĂ©chi. Philippe Bouvard ; Mes derniĂšres pensĂ©es sont pour vous 2017 Un amour non rĂ©flĂ©chi est toujours passager si des conventions ne le cimentent. Properce ; Livre III, Ă©lĂ©gie 20 vers 23 av. La plupart des hommes et des femmes consacrent peu d'instants Ă  rĂ©flĂ©chir sur le passĂ©, par consĂ©quent il est rare que de salutaires douleurs les rendent plus sages. Samuel Johnson ; Le paresseux 1760 Les Ă©vĂ©nements sont des Ă©tapes qui nous obligent Ă  rĂ©flĂ©chir. Anne Barratin ; De toutes les paroisses 1913 Agir sans avoir rĂ©flĂ©chi, c'est partir en voyage sans avoir fait de prĂ©paratifs. Jean-Jacques de LingrĂ©e ; Les rĂ©flexions, pensĂ©es et maximes 1814 La pensĂ©e qui ne fait point rĂ©flĂ©chir ne vaut rien. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 La paresse d'esprit fait qu'on aime Ă  trouver des opinions toutes faites qu'on adopte comme des vĂ©ritĂ©s. Le nombre de ceux qui rĂ©flĂ©chissent indĂ©pendamment de tous prĂ©jugĂ©s, est petit. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Celui qui rĂ©flĂ©chit aime mieux s'entretenir avec ses idĂ©es, quelles qu'elles soient, qu'avec la plupart de ceux qu'il rencontre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Les sots commencent par agir, et les habiles par rĂ©flĂ©chir, avant que de faire quelque chose. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Les idĂ©es de celui qui rĂ©flĂ©chit, se rĂ©sument en pensĂ©es. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Celui qui rĂ©flĂ©chit a plus de plaisir Ă  s'entretenir avec ses idĂ©es qu'Ă  tenir conversation avec les sots Ă  la mode. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Si l'on rĂ©flĂ©chissait avant que d'agir, il y aurait beaucoup moins de sottises dans le monde, et les mĂ©chants manqueraient de texte pour exercer leur langue de vipĂšre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Voir et rĂ©flĂ©chir sur ce qu'on a vu, voilĂ  le second pas de la connaissance. Confucius ; Le livre des sentences - VIe s. av. L'aptitude Ă  rĂ©flĂ©chir implique toujours l'aptitude Ă  l'attention. Gustave Le Bon ; Les opinions et les croyances 1911 Que de gens rĂ©flĂ©chissent toujours Ă  ce qu'ils auraient dĂ» faire, jamais Ă  ce qu'ils vont faire. EugĂšne Marbeau ; Les remarques et pensĂ©es 1901 Quelque chose que tu doives dire, rĂ©flĂ©chis-y auparavant. Bien des gens parlent avant de rĂ©flĂ©chir. Isocrate ; Les conseils Ă  DĂ©monicos - IVe s. av. Il faut rĂ©flĂ©chir aux choses importantes avant de les entreprendre. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804 On ne rĂ©flĂ©chit jamais trop aux choses importantes. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804

Ilest dÚs lors légitime que ce thÚme puisse convenir en tant que « réfléchi » à toutes les personnes : c'est ce qu'attestent encore le sanskrit et le slave. Mais, d'autre part, sw- désigne la personne en tant justement qu'on ne détermine pas si elle est énonciateur ou allocutaire ; il n'est donc pas contradictoire que cette forme soit réservée à la personne qui n'est pas

Qu’est-ce que rĂ©flĂ©chir ? D’aprĂšs les cognitivistes, nous ne rĂ©flĂ©chissons pas trĂšs souvent parce que notre cerveau n’est pas conçu pour rĂ©flĂ©chir mais plutĂŽt pour Ă©viter de le faire. RĂ©flĂ©chir est Ă  la fois difficile et une action lente et peu fiable. Le cerveau est fait pour voir et bouger mais sa capacitĂ© de rĂ©flexion est lente, contraignante, approximative. Daniel T. Willingham, professeur de psychologie cognitive, considĂšre que notre capacitĂ© Ă  voir et Ă  nous dĂ©placer est une prouesse cognitive remarquable ces activitĂ©s demandent plus de travail au cerveau que la seule rĂ©flexion. 3 propriĂ©tĂ©s de la rĂ©flexion demande du temps Notre vision sait assimiler une scĂšne complexe instantanĂ©ment. En un coup d’oeil, nous assimilons l’intĂ©gralitĂ© des dĂ©tails d’une scĂšne pour en avoir une photo globale nous voyons un jardin plutĂŽt qu’un portail, un pelouse, des fleurs et des arbres de maniĂšre isolĂ©e. implique un rĂ©el effort Pour voir de maniĂšre globale et courante, nous n’avons pas besoin de nous concentrer; nous pouvons faire autre chose en mĂȘme temps. Pour rĂ©flĂ©chir, nous avons besoin de nous concentrer; notre cerveau qui rĂ©flĂ©chit ne peut pas faire autre chose en mĂȘme temps. C’est pourquoi la nouveautĂ© d’une action, bien qu’elle puisse ĂȘtre amusante, est Ă©galement Ă©puisante. rĂ©flexion est approximative RĂ©flĂ©chir ne nous offre de pas de garantie les solutions que nous trouvons peuvent ĂȘtre fausses et parfois nous ne trouvons pas de solution. MĂ©moire et rĂ©flexion Daniel T. Willingham affirme que, dĂšs que c’est possible, nous nous reposons sur notre mĂ©moire car elle nous Ă©vite d’avoir Ă  rĂ©flĂ©chir et ainsi nous Ă©conomise. Pour prendre chacune de nos dĂ©cisions et pour agir au quotidien, nous n’avons pas besoin de rĂ©flĂ©chir systĂ©matiquement souvent, nous agissons comme d’habitude. Notre mĂ©moire, comme notre vision, nous permet d’analyser immĂ©diatement et sans effort des problĂšmes complexes. – Daniel T. Willingham La mĂ©moire enregistre des faits, des Ă©vĂ©nements, des visages et des noms mais Ă©galement des techniques, des procĂ©dures. La neuroplasticitĂ© Pour s’économiser et Ă©viter de rĂ©flĂ©chir, la nature nous a dotĂ©s de neuroplasticitĂ©. Le cerveau est capable de changer. A force de rĂ©pĂ©ter des actions complexes qui demandent de la rĂ©flexion, ces actions sont automatisĂ©es. Elles deviennent inconsciente et nous n’avons plus besoin de rĂ©flĂ©chir pour les effectuer. GrĂące Ă  la neuroplasticitĂ©, notre cerveau s’ajuste et s’habitue. Le cerveau est comme une forĂȘt si on marche plusieurs fois dans le mĂȘme sentier, un chemin va progressivement se crĂ©er. Dans le cerveau, il y a crĂ©ation de sentiers de communication entre les neurones. Ces sentiers connexions neuronales deviennent de plus en plus efficaces et mĂšnent Ă  l’automatisation des processus liĂ©s Ă  une certaine tĂąche et donc Ă  la rĂ©solution plus faciles de certains problĂšmes. Apprendre, c’est crĂ©er des connexions entre des neurones. Les choses deviennent plus faciles et on est capable de les faire de mieux en mieux car le chemin est “dĂ©frichĂ©â€, les informations passent plus rapidement d’un neurone Ă  l’autre par ces voies de communication. Plus on utilise le cerveau pour crĂ©er des connexions neuronales, plus on apprend. Ainsi, quand on apprend Ă  faire du vĂ©lo, les gestes sont d’abord conscients et nĂ©cessitent une forte concentration pĂ©daler, maintenir son Ă©quilibre, prendre assez de vitesse, regarder droit devant, freiner
 Penser Ă  toutes ces choses en mĂȘme temps demande de gros efforts. Avec la pratique, des connexions se crĂ©ent entre les neurones sollicitĂ©s pour effectuer cette tĂąche. Les neurones ont créé des chemins pour communiquer entre eux et l’information circule de maniĂšre plus fluide. Mais si on ne marche pas pendant un bon bout de temps dans les sentiers créés par la forĂȘt, la vĂ©gĂ©tation reprend sa place. Les rĂ©seaux de neurones non utilisĂ©s finissent par se dĂ©connecter progressivement. RĂ©flĂ©chir Ă  l’école Ainsi, le cerveau a dĂ©veloppĂ© des stratĂ©gies pour s’économiser et Ă©viter d’avoir Ă  rĂ©flĂ©chir les principales fonctions, la vision et le mouvement, ne demandent pas de rĂ©flexion dans la majoritĂ© des cas, la mĂ©moire remplace la rĂ©flexion pour nous guider dans nos actions la neuroplasticitĂ© permet d’automatiser des actions grĂące Ă  la pratique Si nous ne sommes pas douĂ©s pour rĂ©flĂ©chir et si la mĂ©moire et la pratique nous Ă©vitent d’avoir Ă  le faire, il est facile de comprendre pourquoi les enfants n’aiment pas l’école, un lieu entiĂšrement dĂ©diĂ© Ă  l’apprentissage de la rĂ©flexion. Heureusement, ma dĂ©monstration ne s’arrĂȘte pas Ă  ce constat. Car nous aimons rĂ©flĂ©chir. Nous sommes curieux par nature et nous cherchons les occasions de faire travailler nos neurones. Mais nous abandonnons assez facilement et, pour que notre curiositĂ© soit attisĂ©e, il faut que nous soyons dans les meilleures conditions possibles. – Daniel T. Willingham RĂ©flexion et curiositĂ© Les ĂȘtres humains aiment rĂ©flĂ©chir, ils aiment rĂ©soudre des problĂšmes ! Quand nous trouvons la solution Ă  un problĂšme, notre cerveau s’auto rĂ©compense en sĂ©crĂ©tant une petite dose de dopamine, un neurotransmetteur proche de l’adrĂ©naline. Les neuroscientifiques et les les cognitivistes soupçonnent donc un lien entre apprentissage et plaisir ! Ce plaisir est liĂ© Ă  l’effort que nous fournissons pour rĂ©soudre le problĂšme. Quand nous sommes bloquĂ©s face Ă  un problĂšme, nous sommes frustrĂ©s mais nous ne ressentons pas de plaisir si la rĂ©ponse nous est donnĂ©e. Par ailleurs, tous les raisonnements ne sont pas aussi attrayants les uns que les autres. Le sujet d’un problĂšme au sens large de jeu de l’esprit peut donc attiser la curiositĂ© mais ne suffit pas Ă  la satisfaire. Nous n’aimons rĂ©flĂ©chir que quand nous estimons que notre effort intellectuel sera rĂ©compensĂ© par la satisfaction que suscite la rĂ©solution d’un problĂšme. Il n’est donc pas contradictoire de dire que les ĂȘtres humains Ă©vitent de rĂ©flĂ©chir quand ils le peuvent et, dans le mĂȘme temps, qu’ils sont curieux par nature la curiositĂ© nous pousse Ă  nous intĂ©resser Ă  de nouvelles idĂ©es, Ă  de nouveaux problĂšmes, mais nous Ă©valuons Ă  chaque fois la quantitĂ© d’efforts qu’il nous faudra fournir. – Daniel T. Willingham 4 facteurs d’une rĂ©flexion rĂ©ussie informations fournies par l’environnement L’environnement est constituĂ© de choses Ă  voir, Ă  entendre, de problĂšme Ă  rĂ©soudre
 faits et Ă©vĂ©nement entreposĂ©s dans la mĂ©moire Ă  long terme Toutes les informations contenues dans la mĂ©moire Ă  long terme sont extĂ©rieures Ă  la conscience. C’est comme si elles restaient lĂ  bien sagement en attendant le moment oĂč on en a besoin. A ce moment-lĂ , pour rĂ©pondre Ă  une question par exemple, les informations deviennent conscientes. Les informations pour rĂ©pondre Ă  une question ou un problĂšme peuvent donc soit venir de l’environnement, soit de la mĂ©moire Ă  long terme. La rĂ©flexion consiste Ă  trouver de nouvelles combinaisons entre ces informations et ce processus se situe au sein de la mĂ©moire de travail mĂ©moire Ă  court terme. On comprend alors l’importance de la culture gĂ©nĂ©rale dans le processus de rĂ©flexion et la raison pour laquelle Daniel T. Willingham insiste sur la culture gĂ©nĂ©rale dans un monde connectĂ© mĂȘme si la connaissance est disponible rapidement “à l’extĂ©rieur” du cerveau Peut-on se passer de culture gĂ©nĂ©rale et de mĂ©morisation de faits/connaissances dans un monde connectĂ© ? cheminements mentaux procĂ©dures, techniques mĂ©morisĂ©s dans la mĂ©moire Ă  long terme La mĂ©moire Ă  long terme contient Ă©galement des connaissances procĂ©durales. La connaissance procĂ©durale est comme une liste indiquant quels Ă©lĂ©ments il faut combiner et Ă  quel moment une sorte de recette pour un type de rĂ©flexion particulier. quantitĂ© d’espace disponible dans la mĂ©moire de travail Plus la mĂ©moire de travail mĂ©moire Ă  court terme est remplie, plus il est difficile de rĂ©flĂ©chir. Daniel T. Willingham compare la mĂ©moire de travail Ă  la conscience. La mĂ©moire Ă  court terme est la “petite” mĂ©moire qui permet de stocker des informations temporairement. Aucune information ne peut passer directement de l’environnement extĂ©rieur Ă  notre “boite noire” intĂ©rieure sans passer par la mĂ©moire Ă  court terme. La mĂ©moire Ă  court terme permet de garder une information quelques secondes, pas plus. On ne peut maintenir dans la mĂ©moire Ă  court terme que + ou – 7 Ă©lĂ©ments Ă  la fois. C’est pour cette raison qu’on regroupe les chiffres des numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone pour les retenir par exemple. Un empan est la quantitĂ© d’information le nombre de chiffres par exemple qu’un individu peut mĂ©moriser dans un court laps de temps en moins de 20 secondes. Cette mesure est importante puisqu’elle influence le nombre d’unitĂ©s d’information qui peuvent ĂȘtre mĂ©morisĂ©es en mĂȘme temps. La mĂ©moire Ă  court terme est trĂšs sensible aux distractions, Ă  l’anxiĂ©tĂ©. Selon Daniel T. Willingham, si l’un des facteurs fait dĂ©faut, il y a de fortes chances pour que la rĂ©flexion Ă©choue
 ou qu’elle soit longue, difficile, laborieuse, approximative. D’un point de vue cognitif, un des facteurs fondamentaux pour les apprentissages est celui de savoir si un Ă©lĂšve ressent cette sensation agrĂ©able de satisfaction quand il rĂ©sout un problĂšme. 

























. Source Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! de Daniel T. Willingham Ă©ditions La librairie des Ecoles. Disponible en mĂ©diathĂšque, en librairie ou sur internet. Commander Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! sur Amazon, sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac
GrammaireVerbe (pronominal) rĂ©flĂ©chi, qui indique que l'action Ă©manant du sujet fait retour Ă  lui-mĂȘme (ex. je me lave). Pronom rĂ©flĂ©chi : pronom personnel reprĂ©sentant, en tant que complĂ©ment, la personne qui est sujet du verbe (ex. je me suis trouvĂ© un appartement ; tu ne penses qu'Ă  toi).
Le verbe rĂ©flĂ©chir est du deuxiĂšme verbe rĂ©flĂ©chir se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to think rĂ©flĂ©chir au fĂ©minin rĂ©flĂ©chir Ă  la voix passive se rĂ©flĂ©chir rĂ©flĂ©chir ? ne pas rĂ©flĂ©chir Imprimer Exporter vers WordPrĂ©sentje rĂ©flĂ©chistu rĂ©flĂ©chisil rĂ©flĂ©chitnous rĂ©flĂ©chissonsvous rĂ©flĂ©chissezils rĂ©flĂ©chissentPassĂ© composĂ©j'ai rĂ©flĂ©chitu as rĂ©flĂ©chiil a rĂ©flĂ©chinous avons rĂ©flĂ©chivous avez rĂ©flĂ©chiils ont rĂ©flĂ©chiImparfaitje rĂ©flĂ©chissaistu rĂ©flĂ©chissaisil rĂ©flĂ©chissaitnous rĂ©flĂ©chissionsvous rĂ©flĂ©chissiezils rĂ©flĂ©chissaientPlus-que-parfaitj'avais rĂ©flĂ©chitu avais rĂ©flĂ©chiil avait rĂ©flĂ©chinous avions rĂ©flĂ©chivous aviez rĂ©flĂ©chiils avaient rĂ©flĂ©chiPassĂ© simpleje rĂ©flĂ©chistu rĂ©flĂ©chisil rĂ©flĂ©chitnous rĂ©flĂ©chĂźmesvous rĂ©flĂ©chĂźtesils rĂ©flĂ©chirentPassĂ© antĂ©rieurj'eus rĂ©flĂ©chitu eus rĂ©flĂ©chiil eut rĂ©flĂ©chinous eĂ»mes rĂ©flĂ©chivous eĂ»tes rĂ©flĂ©chiils eurent rĂ©flĂ©chiFutur simpleje rĂ©flĂ©chiraitu rĂ©flĂ©chirasil rĂ©flĂ©chiranous rĂ©flĂ©chironsvous rĂ©flĂ©chirezils rĂ©flĂ©chirontFutur antĂ©rieurj'aurai rĂ©flĂ©chitu auras rĂ©flĂ©chiil aura rĂ©flĂ©chinous aurons rĂ©flĂ©chivous aurez rĂ©flĂ©chiils auront rĂ©flĂ©chiPrĂ©sentque je rĂ©flĂ©chisseque tu rĂ©flĂ©chissesqu'il rĂ©flĂ©chisseque nous rĂ©flĂ©chissionsque vous rĂ©flĂ©chissiezqu'ils rĂ©flĂ©chissentPassĂ©que j'aie rĂ©flĂ©chique tu aies rĂ©flĂ©chiqu'il ait rĂ©flĂ©chique nous ayons rĂ©flĂ©chique vous ayez rĂ©flĂ©chiqu'ils aient rĂ©flĂ©chiImparfaitque je rĂ©flĂ©chisseque tu rĂ©flĂ©chissesqu'il rĂ©flĂ©chĂźtque nous rĂ©flĂ©chissionsque vous rĂ©flĂ©chissiezqu'ils rĂ©flĂ©chissentPlus-que-parfaitque j'eusse rĂ©flĂ©chique tu eusses rĂ©flĂ©chiqu'il eĂ»t rĂ©flĂ©chique nous eussions rĂ©flĂ©chique vous eussiez rĂ©flĂ©chiqu'ils eussent rĂ©flĂ©chiPrĂ©sentje rĂ©flĂ©chiraistu rĂ©flĂ©chiraisil rĂ©flĂ©chiraitnous rĂ©flĂ©chirionsvous rĂ©flĂ©chiriezils rĂ©flĂ©chiraientPassĂ© premiĂšre formej'aurais rĂ©flĂ©chitu aurais rĂ©flĂ©chiil aurait rĂ©flĂ©chinous aurions rĂ©flĂ©chivous auriez rĂ©flĂ©chiils auraient rĂ©flĂ©chiPassĂ© deuxiĂšme formej'eusse rĂ©flĂ©chitu eusses rĂ©flĂ©chiil eĂ»t rĂ©flĂ©chinous eussions rĂ©flĂ©chivous eussiez rĂ©flĂ©chiils eussent rĂ©flĂ©chiPrĂ©sentrĂ©flĂ©chisrĂ©flĂ©chissonsrĂ©flĂ©chissezPassĂ©aie rĂ©flĂ©chiayons rĂ©flĂ©chiayez rĂ©flĂ©chiParticipePassĂ©rĂ©flĂ©chirĂ©flĂ©chierĂ©flĂ©chisrĂ©flĂ©chiesayant rĂ©flĂ©chiInfinitifGĂ©rondifRĂšgle du verbe rĂ©flĂ©chirVoici la forme gĂ©nĂ©rale de conjugaison des verbes en -ir formant leur participe prĂ©sent en -issant. La seule exception est du verbe rĂ©flĂ©chircogiter - penser - gamberger - combiner - manigancer - mijoter - prĂ©parer - mĂ©diter - songer - rĂȘver - spĂ©culer - Ă©chafauder - approfondir - Ă©voquer - prĂ©voir - reflĂ©ter - reproduire - rĂ©percuter - renvoyer - rĂ©pĂ©ter - transmettre - rĂ©verbĂ©rerDĂ©finition du verbe rĂ©flĂ©chir1 Penser longuement Ă  quelque chose2 Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus ex le miroir rĂ©flĂ©chit la lumiĂšre du soleilEmploi du verbe rĂ©flĂ©chirFrĂ©quent - Intransitif - Transitif - Autorise la forme pronominale Tournure de phrase avec le verbe rĂ©flĂ©chirFutur procheje vais rĂ©flĂ©chirtu vas rĂ©flĂ©chiril va rĂ©flĂ©chirnous allons rĂ©flĂ©chirvous allez rĂ©flĂ©chirils vont rĂ©flĂ©chirPassĂ© rĂ©centje viens de rĂ©flĂ©chirtu viens de rĂ©flĂ©chiril vient de rĂ©flĂ©chirnous venons de rĂ©flĂ©chirvous venez de rĂ©flĂ©chirils viennent de rĂ©flĂ©chirVerbes Ă  conjugaison similaireaboutir - accomplir - agir - agrandir - applaudir - approfondir - atterrir - avertir - bĂątir - bondir - choisir - compatir - convertir - dĂ©finir - Ă©claircir - Ă©largir - enrichir - envahir - Ă©tablir - finir - fournir - franchir - garantir - grandir - grossir - investir - rĂ©flĂ©chir - remplir - rĂ©unir - rĂ©ussir - saisir - subir Estce que vous cliquez sans rĂ©flĂ©chir dans les emails envoyĂ©s par vos amis ? 6- Si le verdict est que le message est lĂ©gitime et qu’il n’a pas de caractĂšre dangereux, il est dĂ©livrĂ© sans modification Ă  son destinataire. Lorsque l’utilisateur clique sur l’URL réécrite dans le message, il est redirigĂ© vers un proxy public et le contenu de la page Web est vĂ©rifiĂ© par le
Par Shu Qin, Chine En fĂ©vrier de l’annĂ©e derniĂšre, j’ai Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans une Église en tant que dirigeant. Certaines tĂąches n’y Ă©taient pas faites de façon trĂšs efficace, et je me suis dit Les dirigeants qui ont arrangĂ© ma venue ici doivent beaucoup m’estimer, et penser que je suis capable de reprendre en main le travail de cette Église. Il faut que je m’en sorte bien, que je montre Ă  ces dirigeants que je peux faire un travail pratique et qu’ils ont eu raison de me choisir. » Ensuite, j’ai Ă©tĂ© voir chaque groupe de l’Église, pour savoir oĂč en Ă©tait leur travail, et rĂ©soudre les difficultĂ©s et problĂšmes des frĂšres et sƓurs dans leurs devoirs. Certains frĂšres et sƓurs Ă©tant dans un mauvais Ă©tat, je les ai aidĂ©s et soutenus avec amour. Quand je trouvais que des gens ne convenaient pas Ă  un poste, je discutais avec ma partenaire et je les transfĂ©rais ou je les remplaçais, conformĂ©ment aux principes. Au bout d’un moment, le travail de l’Église s’est quelque peu amĂ©liorĂ©. J’étais trĂšs content, mais je n’ai pas pu m’empĂȘcher de penser Je crois que je peux faire davantage de travail pratique. Il faut que je travaille dur pour obtenir de meilleurs rĂ©sultats, ainsi, mes frĂšres et sƓurs verront mes capacitĂ©s de travail et diront que je suis un bon dirigeant. » Un jour, alors que nous passions en revue certaines tĂąches, j’ai remarquĂ© que l’efficacitĂ© du travail d’abreuvement avait beaucoup diminuĂ©, et que plusieurs nouveaux venus n’allaient pas aux rĂ©unions. J’ai pensĂ© Les autres tĂąches sont faites plus efficacement, maintenant, mais l’efficacitĂ© du travail d’abreuvement a dĂ©clinĂ©. On ne peut pas laisser le travail d’abreuvement affecter les rĂ©sultats d’ensemble, sinon, tout le monde va dire que je suis incompĂ©tent, ce qui nuirait Ă  mon image. » Alors je suis vite allĂ© voir le personnel d’abreuvement, j’ai appris que la dirigeante du groupe, SƓur Wu, ignorait les difficultĂ©s des nouveaux venus quand elle arrangeait leurs rĂ©unions et devoirs. Elle arrangeait des rĂ©unions quand certains nouveaux venus devaient travailler, ce qui les empĂȘchait d’y assister, du coup, ils avaient des difficultĂ©s, pensaient ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur, et devenaient nĂ©gatifs. Apprendre ça m’a mis un peu en colĂšre. J’ai pensĂ© J’ai clairement dit Ă  SƓur Wu que nous devions penser Ă  la situation des nouveaux venus quand nous arrangeons rĂ©unions et devoirs pour eux. Pourquoi ne peut-elle pas maĂźtriser ce concept et se montrer plus souple ? Je crois qu’elle n’a pas le calibre nĂ©cessaire pour cet abreuvement. Les mauvais rĂ©sultats que nous obtenons ont tous Ă  voir avec elle. Je ne peux pas la laisser, Ă  elle seule, affecter le travail de l’Église toute entiĂšre. Il faut la dĂ©mettre immĂ©diatement. Si je ne la dĂ©mets pas, nos rĂ©sultats ne vont jamais s’amĂ©liorer. Cela va entraver le travail de la maison de Dieu, et, en plus, mes supĂ©rieurs, et les frĂšres et sƓurs, vont penser que je suis incapable de travailler, ou de rĂ©soudre des problĂšmes rĂ©els. Je ne peux pas laisser les gens douter de ma compĂ©tence. » Donc, aprĂšs la rĂ©union, j’ai Ă©voquĂ© le renvoi de SƓur Wu avec ma partenaire et les diacres. La diaconesse d’abreuvement a dit Autrefois, SƓur Wu abreuvait efficacement les nouveaux venus. Elle est peut-ĂȘtre en mauvais Ă©tat, en ce moment, elle a peut-ĂȘtre formĂ© les nouveaux venus un peu trop rapidement, voilĂ  tout. Nous devrions Ă©tudier sa situation, puis Ă©changer avec elle et l’aider. Si elle ne change pas, au bout d’un certain temps, nous la dĂ©mettrons. » Mais Ă  ce moment-lĂ , j’ai uniquement pensĂ© que ma rĂ©putation et mon statut risquaient d’en pĂątir. Je me disais SƓur Wu ne vient pas de commencer Ă  abreuver les nouveaux venus. Et je lui ai dĂ©jĂ  parlĂ© de ce problĂšme. Je crois qu’elle refuse d’accepter les rappels et l’aide. Si nous ne la renvoyons pas Ă  temps, et que nous prenons du retard, ou si le travail s’en trouve affectĂ©, je vais forcĂ©ment ĂȘtre tenu pour responsable, donc, peu importe le moyen, cette fois, je dois arriver Ă  convaincre les diacres de dĂ©mettre SƓur Wu. » Alors j’ai dit sur un ton furibond SƓur Wu est inefficace dans son devoir, ce qui prouve qu’elle est incompĂ©tente et qu’elle ne convient pas Ă  ce poste. Si vous la gardez, et que les rĂ©sultats de notre travail ne s’amĂ©liorent pas, lequel d’entre vous en assumera la responsabilitĂ© ? Vous n’avez qu’à l’aider, mais sans moi ! » Voyant mon attitude, ma partenaire et les diacres n’ont rien osĂ© dire. Plus tard, j’ai appris que SƓur Wu Ă©tait devenue trĂšs nĂ©gative aprĂšs avoir Ă©tĂ© remplacĂ©e. Elle se disait qu’elle avait abreuvĂ© des nouveaux venus pendant des annĂ©es, avec de bons rĂ©sultats. Mais lĂ , elle formait des nouveaux venus qui dĂ©butaient dans leur foi, parce que l’Église manquait de personnel d’abreuvement, et elle devait combiner plusieurs lieux de rencontre. Du coup, il y avait des problĂšmes quand elle Ă©tait trop prise pour s’occuper des difficultĂ©s de tous les nouveaux venus. Elle n’avait pas cru pouvoir ĂȘtre dĂ©mise comme ça, donc elle se disait que nous l’avions renvoyĂ©e sans principes, en nous basant sur un comportement qu’elle avait eu temporairement, et non sur une Ă©valuation Ă©quilibrĂ©e de son comportement habituel. Quand j’ai appris ça, non seulement je n’ai pas cherchĂ© la vĂ©ritĂ©, ni rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme, mais je me suis dit que SƓur Wu Ă©tait de faible stature, qu’elle ne pouvait pas se connaĂźtre ni tirer de leçons de cette situation, et je n’ai pas pris ça au sĂ©rieux du tout. AprĂšs le renvoi de SƓur Wu, nous avons choisi SƓur Liu comme dirigeante de groupe. Ravi, je me suis dit Maintenant, le travail d’abreuvement devrait ĂȘtre plus efficace ! » Mais, au bout d’un moment, j’ai dĂ©couvert que SƓur Liu avait une faible capacitĂ© de travail, et qu’elle n’était pas aussi responsable que SƓur Wu. Elle ne comprenait pas Ă  temps l’état des nouveaux venus, et ne savait pas comment rĂ©soudre leurs problĂšmes. Par consĂ©quent, le temps a passĂ©, mais le travail d’abreuvement ne s’est pas amĂ©liorĂ©. J’ai commencĂ© Ă  me sentir mal Ă  l’aise et Ă  me demander si renvoyer SƓur Wu avait Ă©tĂ© une erreur, mais, vu la situation, j’ai dĂ©cidĂ© d’échanger avec SƓur Liu et de l’aider davantage, pour voir si ses rĂ©sultats allaient s’amĂ©liorer. Des nouveaux venus continuant d’arriver dans l’Église, la prioritĂ© a Ă©tĂ© de former rapidement davantage de personnel d’abreuvement. J’ai donc vite commencĂ© Ă  chercher des candidats. J’ai pensĂ© Ă  SƓur Chen, qui avait Ă©tĂ© dĂ©mise et Ă©tait encore isolĂ©e pour rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme. Elle avait prĂȘchĂ© l’Évangile auparavant, et avait obtenu des rĂ©sultats, donc j’ai voulu la former. Je pensais juste qu’elle Ă©tait amicale, qu’elle communiquait facilement avec les gens, et que si nous la formions, cela rĂ©soudrait le problĂšme du travail d’abreuvement. Mes supĂ©rieurs diraient forcĂ©ment que j’étais de bon calibre, que j’étais un bon dirigeant. Alors j’ai demandĂ© Ă  la diaconesse d’abreuvement de s’attacher Ă  cultiver SƓur Chen. EmbarrassĂ©e, cette diaconesse a rĂ©pondu Nous avions pensĂ© Ă  un arrangement de ce genre, mais nous avons vu que SƓur Chen n’avait toujours aucune connaissance d’elle-mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©mise. Quand elle prĂȘchait l’Évangile, elle luttait pour la gloire et le gain, et semait la jalousie et le conflit, ce qui empĂȘchait totalement les autres d’accomplir leur devoir normalement. Si nous la formons Ă  l’abreuvement maintenant, elle va continuer Ă  se montrer malfaisante et Ă  provoquer des perturbations. L’abreuvement est l’une des tĂąches les plus importantes dans la maison de Dieu. Ceux qui sont formĂ©s dans ce but doivent avoir une bonne humanitĂ© et ne pas perturber le travail de la maison de Dieu. Nous devons faire les choses conformĂ©ment au principe ! » Les paroles de la diaconesse m’ont rendu nerveux. J’ai pensĂ© SƓur Chen est amicale et elle a du calibre. La former Ă  abreuver les nouveaux venus va forcĂ©ment rendre le travail plus efficace rapidement. Si nous dĂ©cidons de ne pas la former parce qu’elle semble ne pas s’ĂȘtre vĂ©ritablement repentie, mes dirigeants ne pourront pas constater que j’ai une grande capacitĂ© de travail. Ça ne va pas du tout. Je dois convaincre la diaconesse de faire ce que je veux, je ne peux pas renoncer comme ça. » Alors j’ai traitĂ© cette diaconesse d’abreuvement, en disant Est-ce bien le moment de suivre les rĂšgles aveuglĂ©ment ? Les principes disent aussi que ceux qui ont transgressĂ© autrefois doivent avoir la possibilitĂ© de se repentir. SƓur Chen est amicale et a le calibre nĂ©cessaire pour abreuver les nouveaux venus, nous pouvons donc la former. Il faut juste la surveiller et ne pas la laisser provoquer des perturbations. SƓur Chen est de bon calibre et elle apprend vite. Disposer d’une sƓur compĂ©tente pour l’abreuvement rĂ©soudra bien des problĂšmes. Allez la chercher et amenez-la Ă  la rĂ©union ! » Quand la diaconesse d’abreuvement a vu que je m’entĂȘtais, elle n’a rien ajoutĂ©. Mais quelques jours plus tard, la diaconesse d’abreuvement a signalĂ© que SƓur Chen n’investiguait pas les notions et la confusion des nouveaux venus avant de les abreuver, et qu’elle n’offrait pas d’échange ciblĂ©. À la place, elle insistait pour Ă©changer en se basant sur ses propres idĂ©es, ce qui avait amenĂ© deux nouveaux venus Ă  s’opposer, Ă  rĂ©sister et Ă  cesser de croire. À l’époque, ça m’a mis un peu mal Ă  l’aise. Vu son calibre, SƓur Chen n’aurait pas dĂ» faire une chose pareille. Plus tard, quand j’ai discutĂ© avec elle, j’ai compris qu’elle n’était proactive dans ses devoirs qu’en apparence. Elle n’avait aucune comprĂ©hension de ses transgressions passĂ©es, et, alors qu’un problĂšme grave Ă©tait survenu dans son travail, elle n’avait pas rĂ©flĂ©chi sur elle-mĂȘme et n’en avait tirĂ© aucune leçon. Elle Ă©tait indiffĂ©rente. Ce n’est qu’alors que j’ai pris conscience que je l’avais peut-ĂȘtre cultivĂ©e trop prĂ©cocement, et qu’elle avait sans doute besoin de continuer Ă  s’isoler pour rĂ©flĂ©chir. Mais, rĂ©flexion faite, j’ai pensĂ© que SƓur Chen Ă©tait de bon calibre, qu’elle avait Ă©tĂ© dirigeante, et que si je l’aidais davantage, elle pourrait vite comprendre et se reprendre en main. Il fallait juste que je la forme et que j’amĂ©liore les rĂ©sultats du travail d’abreuvement, ensuite mes dirigeants m’approuveraient. Et donc, alors que je m’attendais Ă  obtenir de bons rĂ©sultats, un matin, ma partenaire m’a dit Les frĂšres et sƓurs ont Ă©crit pour dire que tu ne faisais pas ton devoir conformĂ©ment aux principes. Tu as arrangĂ©, par la force, que SƓur Chen, qui Ă©tait isolĂ©e, fasse le travail d’abreuvement. Durant cette pĂ©riode, SƓur Chen a eu de nombreux problĂšmes en abreuvant les nouveaux venus, mais elle n’a pas rĂ©flĂ©chi ni montrĂ© la moindre conscience d’elle-mĂȘme. Si l’on regarde son comportement habituel, elle s’avĂšre complĂštement inapte Ă  ĂȘtre cultivĂ©e, et les frĂšres et sƓurs recommandent qu’elle continue Ă  s’isoler et Ă  rĂ©flĂ©chir. » Quand j’ai entendu ce que ma partenaire disait, mon cƓur a failli s’arrĂȘter C’est fini. Je suis fichu ! Il ne s’agit pas de simples rĂ©actions, mais d’un rapport officiel, qui m’expose parce que je n’ai pas agi selon les principes. Ça fait des annĂ©es que je crois en Dieu, et je n’ai jamais Ă©tĂ© signalĂ© par quiconque. Que vont penser de moi mes frĂšres et sƓurs, maintenant ? » Je me suis alors senti trĂšs embarrassĂ©. J’ai pris un verre d’eau et j’en ai bu quelques gorgĂ©es, pour essayer de me calmer, mais mon cƓur Ă©tait aussi agitĂ© qu’une mer dĂ©montĂ©e Si mes dirigeants dĂ©couvrent le contenu de cette lettre, ils vont dire que je ne fais pas mon devoir conformĂ©ment aux principes, et que je perturbe le travail de l’Église. Vont-ils me dĂ©mettre, aprĂšs ça ? » Mon esprit Ă©tait en pleine effervescence. Finalement, je me suis avachi dans mon fauteuil comme une baudruche qui se dĂ©gonfle. Quand ma partenaire a vu mon Ă©tat, elle a dit Être surveillĂ©s et exposĂ©s par nos frĂšres et sƓurs nous aide. Maintenant, tu dois recevoir de Dieu. » J’ai promis de recevoir de Dieu, mais, en fait, je ne parvenais pas Ă  calmer mon esprit. Je n’ai pas pu manger ou dormir de la journĂ©e. Quand je pensais que les faits de mon comportement avaient Ă©tĂ© exposĂ©s dans cette lettre, cela me transperçait le cƓur. Je suis tombĂ© Ă  genoux, et j’ai priĂ© Dieu Dieu ! Je sais que Tu as de bonnes intentions en laissant tout ça m’arriver. S’il Te plaĂźt, aide-moi Ă  comprendre Ta volontĂ© et Ă  en tirer des leçons. » Plus tard, en rĂ©flĂ©chissant et en cherchant, j’ai lu ces paroles de Dieu. Quoi qu’ils fassent, les antĂ©christs ont toujours leurs propres buts et intentions, ils agissent toujours selon leur propre plan, et leur attitude envers les arrangements et le travail de la maison de Dieu est la suivante “Tu as peut-ĂȘtre un millier de projets, mais moi j’ai une rĂšgle” tout cela est dĂ©terminĂ© par la nature de l’antĂ©christ. Un antĂ©christ peut-il changer sa mentalitĂ© et agir selon les principes de la vĂ©ritĂ© ? Ce serait absolument impossible. [
] Quel que soit le devoir qu’ils accomplissent, les antĂ©christs s’en tiennent toujours au mĂȘme principe il faut qu’ils glanent un bĂ©nĂ©fice. Le genre de travail que les antĂ©christs aiment le plus, c’est quand cela ne leur coĂ»te rien, quand ils n’ont pas Ă  souffrir ni Ă  payer un prix, et qu’il y a un avantage pour leur rĂ©putation et leur statut. En somme, quoi qu’ils fassent, les antĂ©christs se prĂ©occupent d’abord de leurs propres intĂ©rĂȘts et n’agissent qu’une fois qu’ils ont rĂ©flĂ©chi Ă  tout. Ils n’obĂ©issent pas vraiment, sincĂšrement et absolument Ă  la vĂ©ritĂ© sans compromis, mais le font de maniĂšre sĂ©lective et conditionnelle. De quelle condition s’agit-il ? Leur statut et leur rĂ©putation doivent ĂȘtre sauvegardĂ©s et ne doivent subir aucune perte. Ce n’est qu’une fois cette condition satisfaite qu’ils dĂ©cideront et choisiront quoi faire. C’est-Ă -dire que les antĂ©christs rĂ©flĂ©chissent sĂ©rieusement Ă  la maniĂšre de traiter les principes de la vĂ©ritĂ©, les commissions de Dieu et le travail de la maison de Dieu, et Ă  la façon de gĂ©rer ce Ă  quoi ils sont confrontĂ©s. Ils ne se soucient pas d’accomplir la volontĂ© de Dieu, d’éviter de nuire aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, de satisfaire Dieu ni d’ĂȘtre utiles aux frĂšres et sƓurs ce ne sont pas ces choses-lĂ  qui les prĂ©occupent. Qu’est-ce qui prĂ©occupe les antĂ©christs ? C’est de savoir si leur propre statut et leur rĂ©putation seront affectĂ©s, et si leur prestige sera amoindri. Si faire quelque chose selon les principes de la vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre bĂ©nĂ©fique au travail de l’Église et apporter des avantages aux frĂšres et sƓurs, mais en mĂȘme temps porter un coup Ă  leur propre rĂ©putation et faire que leur vraie stature, leur nature et leur essence soient rĂ©vĂ©lĂ©es Ă  beaucoup de gens, alors il est certain qu’ils n’agiront pas conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. Si faire un quelconque travail concret amĂšne plus de gens Ă  avoir une haute opinion d’eux, Ă  les admirer et Ă  les vĂ©nĂ©rer, et qu’ainsi leurs paroles seront chargĂ©es d’autoritĂ© et amĂšneront davantage de gens Ă  se soumettre Ă  eux, alors ils choisiront d’agir de cette maniĂšre ; sinon, ils n’accorderont absolument aucune considĂ©ration aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu ni Ă  ceux des frĂšres et sƓurs, et n’iront pas mettre de cĂŽtĂ© leurs propres intĂ©rĂȘts. Telles sont la nature et l’essence des antĂ©christs » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie III », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  cette parole de Dieu, j’ai compris que tout ce que les antĂ©christs font, ils le font pour protĂ©ger leur rĂ©putation et leur statut. Quand leur rĂ©putation et leur statut ne sont pas en jeu, ils sont capables d’agir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, mais si agir selon ces principes risque de menacer leur rĂ©putation et leur statut, les antĂ©christs violent ouvertement les principes et agissent arbitrairement, en suivant leurs propres idĂ©es. Pour protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts, ils sont prĂȘts Ă  nuire Ă  ceux de la maison de Dieu. J’ai rĂ©flĂ©chi Ă  ce que j’avais fait depuis que j’étais devenu dirigeant, et j’ai vu que j’avais Ă©tĂ© comme les antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©s par la parole de Dieu. J’avais voulu accomplir quelque chose rapidement, pour prouver que j’étais compĂ©tent et capable de faire un travail pratique, pour que mes supĂ©rieurs, et mes frĂšres et sƓurs, voient qu’en me nommant dirigeant, ils avaient fait le bon choix. Quand j’avais choisi et utilisĂ© des gens, je n’avais donc pas du tout cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ©, je n’avais pas essayĂ© de favoriser le travail de la maison de Dieu, je n’avais pas Ă©coutĂ© les conseils, et j’avais insistĂ© pour prendre les dĂ©cisions tout seul. Quand j’avais vu que SƓur Wu n’arrangeait pas les rĂ©unions et les devoirs des nouveaux venus en se basant sur leur situation rĂ©elle, j’avais ignorĂ© son Ă©tat et ses difficultĂ©s, je ne l’avais pas aidĂ©e Ă  trouver la racine de ses problĂšmes, Ă  entrer dans les principes, pour qu’elle Ă©vite de refaire les mĂȘmes erreurs. J’avais pensĂ© qu’elle n’obtenait pas de rĂ©sultats, ce qui allait nuire Ă  ma rĂ©putation, Ă  mon statut, alors je l’avais cataloguĂ©e injustement et exclue, j’avais voulu la renvoyer. Pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut, j’avais ignorĂ© les principes et les conseils de mes collaborateurs, et j’avais dĂ©mis SƓur Wu de force. Pourtant, je n’avais eu ni amour ni patience Ă  son Ă©gard. Je savais qu’elle avait du mal Ă  accomplir son devoir, mais je n’avais pas Ă©changĂ© avec elle pour l’aider, je l’avais dĂ©mise directement. J’étais comme un meurtrier sans pitiĂ©. J’étais vraiment inhumain ! AprĂšs avoir dĂ©mis SƓur Wu, la nouvelle sƓur que j’avais choisie avait Ă©tĂ© incapable de faire son travail, ce qui avait directement affectĂ© l’abreuvement. MĂȘme alors, je n’avais pas su rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme, et j’avais continuĂ© Ă  promouvoir quelqu’un qui avait perturbĂ© le travail de l’Église, en prĂ©textant que je cultivais le talent et que j’amĂ©liorais le travail d’abreuvement. J’avais mĂȘme sorti les choses de leur contexte, et dit, contre toute logique, que nous devions lui laisser une chance de se repentir. J’avais traitĂ© la diaconesse d’abreuvement parce qu’elle suivait les rĂšgles aveuglĂ©ment, au point qu’elle avait eu peur de me contredire. RĂ©sultat, SƓur Chen n’avait pas convenu du tout, et elle avait nui au travail d’abreuvement. J’ai vu que, pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut, j’étais prĂȘt Ă  prendre des raccourcis dans mon devoir, Ă  ignorer les principes et les rappels. MĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© signalĂ© et exposĂ©, je m’étais uniquement inquiĂ©tĂ© de la façon dont les dirigeants allaient me percevoir. Je n’avais pas rĂ©flĂ©chi aux causes de mes Ă©checs, j’avais protĂ©gĂ© ma rĂ©putation et mon statut avec entĂȘtement, et laissĂ© les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu en pĂątir, pour sauvegarder mes propres intĂ©rĂȘts. Ce que je manifestais, c’était le tempĂ©rament d’un antĂ©christ ! Plus tard, en cherchant, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu Si quelqu’un dit qu’il aime la vĂ©ritĂ© et qu’il recherche la vĂ©ritĂ© mais qu’en substance, le but qu’il poursuit est de se distinguer, de se montrer, de faire en sorte que les gens aient une haute opinion de lui, de rĂ©aliser ses propres intĂ©rĂȘts et que le but de l’accomplissement de son devoir n’est pas d’obĂ©ir Ă  Dieu ni de Le satisfaire, mais plutĂŽt d’obtenir un prestige et un statut, alors sa poursuite est illĂ©gitime. Ceci Ă©tant, par rapport au travail de l’Église, ses actions sont-elles un obstacle, ou est-ce qu’elles contribuent Ă  le faire avancer ? Elles sont clairement un obstacle elles ne le font pas avancer. Tous ceux qui brandissent la banniĂšre de l’accomplissement du travail de l’Église tout en poursuivant leur prestige et leur statut personnels, en faisant tourner leur entreprise, en crĂ©ant leur propre petit groupe, leur propre petit royaume, sont-ils le genre de personne qui accomplit son devoir ? Essentiellement, tout le travail qu’ils font interrompt, perturbe et entrave le travail de l’Église. Quelle est la consĂ©quence de leur poursuite du statut et du prestige ? PremiĂšrement, cela affecte la façon dont les Ă©lus de Dieu mangent et boivent la parole de Dieu et comprennent la vĂ©ritĂ©, cela entrave leur entrĂ©e dans la vie, cela les empĂȘche d’emprunter le droit chemin de la foi en Dieu et les conduit sur le mauvais chemin ce qui nuit aux Ă©lus et les mĂšne Ă  la ruine. Et quelle en est finalement l’incidence sur le travail de l’Église ? C’est un dĂ©mantĂšlement, une interruption et une altĂ©ration » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie I », dans Exposer les antĂ©christs. AprĂšs avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris que lorsque l’on poursuit la rĂ©putation et le statut sous la banniĂšre de l’accomplissement du devoir, l’essence de tout cela c’est que l’on agit comme des serviteurs de Satan et que l’on perturbe le travail de la maison de Dieu. La parole de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© l’essence de mes actes. Dieu m’avait exaltĂ© pour que je sois dirigeant parce qu’Il espĂ©rait que je tienne compte de Sa volontĂ©, que j’abreuve bien mes frĂšres et sƓurs, que je rĂ©solve leurs difficultĂ©s, et leurs problĂšmes d’entrĂ©e dans la vie, que je promeuve et forme des gens appropriĂ©s afin qu’ils fassent les diverses tĂąches de l’Église et qu’ils s’assurent que le travail de l’Église se dĂ©roulait normalement. Mais je n’avais pas tenu compte de la volontĂ© et des exigences de Dieu, et je n’avais pas assumĂ© mes responsabilitĂ©s en tant que dirigeant. Quand j’avais choisi et utilisĂ© des gens, je n’avais tenu compte que de mes propres intĂ©rĂȘts. Par consĂ©quent, je n’avais pas soutenu les nouveaux arrivants, et, en plus, j’avais entravĂ© le travail d’abreuvement, ce qui avait amenĂ© des nouveaux venus Ă  se retirer. En quoi avais-je fait mon devoir ? J’avais perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et fait le mal ! Je n’avais vraiment eu aucune conscience. J’étais trop Ă©goĂŻste et trop indiffĂ©rent. J’ai pensĂ© aux antĂ©christs et aux gens malfaisants qui avaient Ă©tĂ© expulsĂ©s de l’Église. Ils intriguaient sans cesse pour leur propre bĂ©nĂ©fice, ignoraient les principes de la vĂ©ritĂ© pour prĂ©server rĂ©putation et statut, ils faisaient leurs devoirs arbitrairement et de façon tyrannique, perturbaient gravement le travail de la maison de Dieu, et, du fait de leurs actes malfaisants, ils finissaient par ĂȘtre dĂ©testĂ©s et bannis par Dieu. Il n’y avait aucune diffĂ©rence, sur le fond, entre ce que je faisais et les actes des antĂ©christs ! Quand j’ai compris ça, j’en ai eu des sueurs froides, et j’ai priĂ© Dieu Dieu, j’ai Ă©tĂ© nĂ©gligent dans mon devoir. J’ai poursuivi la gloire, le statut et la rĂ©ussite rapide, et j’ai pris le mauvais chemin. Dieu, je souhaite me repentir devant Toi. S’il Te plaĂźt, guide-moi et aide-moi. » Plus tard, en rĂ©flĂ©chissant et en cherchant, j’ai compris que pour ĂȘtre efficace dans notre devoir, nous devons avoir de bonnes intentions, nous concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ©, et agir selon les principes. C’est seulement alors que nous pouvons recevoir la direction de Dieu, et amĂ©liorer continuellement nos rĂ©sultats. J’ai songĂ© Ă  ces paroles de Dieu Lorsque les gens acceptent une commission de Dieu, ils doivent d’abord comprendre la volontĂ© de Dieu pour pouvoir remplir leurs devoirs et accomplir leur mission. Il faut que tu saches que cette commission est venue de Dieu c’est Sa volontĂ© et tu dois l’accepter, en ĂȘtre conscient et, plus important encore, t’y soumettre. De plus, tu dois chercher des rĂ©ponses sur les vĂ©ritĂ©s qu’il faut que tu comprennes, sur les principes que tu dois respecter et sur la maniĂšre dont tu dois pratiquer, afin d’apporter un avantage aux Ă©lus de Dieu et au travail de la maison de Dieu lorsque tu accomplis ce devoir. Ce sont lĂ  les principes selon lesquels tu dois pratiquer. Une fois que tu as compris la volontĂ© de Dieu, tu ne dois pas perdre de temps Ă  chercher et Ă  essayer de comprendre les vĂ©ritĂ©s pour accomplir ce genre de devoir, et une fois que tu as compris ces vĂ©ritĂ©s, tu dois dĂ©terminer les principes et le chemin pour les mettre en pratique. À quoi les “principes” font-ils rĂ©fĂ©rence ? De façon spĂ©cifique, les principes font rĂ©fĂ©rence aux choses qui doivent ĂȘtre suivies pour atteindre les normes et les effets de la pratique de la vĂ©ritĂ©. Pour pratiquer la vĂ©ritĂ©, les gens doivent avoir saisi le principe le principe est la chose la plus cruciale et la plus fondamentale. Une fois que tu maĂźtrises les principes de base pour accomplir ton devoir, c’est la preuve que tu maĂźtrises les normes requises pour accomplir ce devoir, et maĂźtriser le principe Ă©quivaut Ă  ĂȘtre capable de mettre la vĂ©ritĂ© en pratique. Alors, sur quelle base repose cette capacitĂ© Ă  pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sur la comprĂ©hension de la volontĂ© de Dieu et sur la comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ©. Le simple fait d’ĂȘtre conscient de ce que Dieu demande revient-il Ă  comprendre la vĂ©ritĂ© ? Ce n’est pas le cas alors, quelle norme est requise pour que cela revienne Ă  comprendre la vĂ©ritĂ© ? Il faut que tu comprennes quelle sont la signification et la valeur de l’accomplissement de ton devoir comprendre ces deux choses, c’est comprendre la vĂ©ritĂ© de l’accomplissement de ton devoir. De plus, une fois que tu as compris la vĂ©ritĂ©, tu dois te familiariser avec les principes de l’accomplissement de ton devoir et avec le chemin de pratique. Si tu es capable de saisir et d’appliquer les principes pour accomplir ce devoir et que tu peux Ă©galement faire preuve de sagesse en cas de besoin, alors tu es assurĂ© d’ĂȘtre efficace dans l’accomplissement de ce devoir ; et quand tu saisiras le principe et feras les choses selon le principe, cela reviendra Ă  pratiquer la vĂ©ritĂ©. S’il n’est pas entachĂ© d’idĂ©es humaines, qu’il est exĂ©cutĂ© dans l’obĂ©issance absolue aux exigences de Dieu et conformĂ©ment aux arrangements de travail de la maison de Dieu, et qu’il est en plein accord avec les paroles de Dieu, alors l’accomplissement de ton devoir est entiĂšrement conforme aux normes, et mĂȘme s’il peut y avoir une certaine diffĂ©rence entre ton efficacitĂ© et ce que Dieu exige, cela comptera toujours comme rĂ©pondant aux exigences de Dieu. Si tu as accompli ton devoir en plein accord avec le principe et avec dĂ©votion, que tu y as consacrĂ© tous tes efforts, alors tu l’as accompli de façon pleinement conforme Ă  la volontĂ© de Dieu et tu es parvenu Ă  accomplir le devoir d’une crĂ©ature de Dieu de tout ton cƓur, de tout ton esprit et de toutes tes forces ce qui est l’effet obtenu en pratiquant la vĂ©ritĂ© » Ils essaient de rallier les gens Ă  leur cause », dans Exposer les antĂ©christs. Les paroles de Dieu Ă©taient trĂšs claires. Pour accepter la commission de Dieu, nous devons d’abord chercher Sa volontĂ©, chercher les principes de notre devoir dans lesquels nous devons entrer, comprendre la vĂ©ritĂ©, obĂ©ir Ă  Dieu, et suivre strictement les principes de la vĂ©ritĂ© dans notre devoir. Quand nous faisons notre devoir, nous devons aussi tenir compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, nous examiner nous-mĂȘmes souvent, et ne pas comploter pour notre profit personnel. Cela rĂ©duit l’adultĂ©ration de nos propres idĂ©es, et les erreurs que nous commettons dans nos devoirs. J’ai pensĂ© que j’avais agi uniquement par ambition et dĂ©sir dans mon devoir, que j’avais rarement cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ©, et que, mĂȘme quand j’avais acquis des connaissances, je n’avais pas obĂ©i. Il est essentiel que le personnel d’abreuvement soit capable d’échanger clairement sur la vĂ©ritĂ©, d’avoir de la patience et de se montrer responsable. SƓur Wu Ă©tait responsable dans son devoir, elle Ă©tait aimante et patiente avec les nouveaux venus. Quels que soient les Ă©tats ou les difficultĂ©s des nouveaux venus, elle pouvait Ă©changer activement et rĂ©soudre leurs problĂšmes, elle comprenait aussi certains principes de l’abreuvement des nouveaux venus. Dans le passĂ©, elle s’était montrĂ©e efficace dans son devoir, et elle ne commettait des erreurs maintenant qu’à cause de difficultĂ©s qu’elle ne parvenait pas Ă  gĂ©rer. Vu la situation, nous devions lui offrir Ă©change et aide, par amour, ou bien la traiter, l’émonder, l’exposer et la rĂ©primander, et non simplement la dĂ©mettre. De plus, quand j’avais vu que SƓur Chen Ă©tait enthousiaste et amicale en apparence, j’avais imaginĂ© qu’elle Ă©tait apte Ă  ĂȘtre cultivĂ©e, mais dĂ©sormais, je comprenais que ce n’était pas conforme aux principes. Les gens qui ont une mauvaise humanitĂ©, qui font le mal et perturbent le travail de la maison de Dieu, ne doivent pas ĂȘtre cultivĂ©s. SƓur Chen dĂ©sirait avec force la renommĂ©e et le statut, elle avait souvent luttĂ© pour les obtenir autrefois, et elle avait perturbĂ© le travail de l’Église. AprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©mise et isolĂ©e, elle n’avait jamais montrĂ© une comprĂ©hension authentique de ses transgressions. Elle suivait encore le mauvais chemin dans son devoir, et Ă©tait capable Ă  tout moment de perturber le travail de l’Église. On ne peut pas cibler les gens comme elle pour les cultiver sĂ©rieusement. J’ai vu que je ne connaissais pas les principes du renvoi et de l’utilisation des gens, et que j’agissais donc par ambition et par dĂ©sir, ce qui perturbait et entravait le travail de la maison de Dieu. Cela nuisait Ă©galement Ă  SƓur Chen, c’était dĂ©sastreux pour elle. Quand j’ai compris tout ça, j’ai remerciĂ© Dieu pour avoir arrangĂ© la lettre Ă©crite par mes frĂšres et sƓurs afin de me signaler et de m’exposer, ce qui m’avait empĂȘchĂ© de continuer Ă  suivre mon chemin malfaisant. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Dans la maison de Dieu, quoi que tu fasses, tu ne travailles pas Ă  ta propre entreprise il s’agit du travail de la maison de Dieu, il s’agit de l’Ɠuvre de Dieu. Tu dois constamment garder cette connaissance et cette perception Ă  l’esprit et dire “Ceci n’est pas une affaire qui m’est propre, je fais mon devoir et j’assume ma responsabilitĂ©. Je fais le travail de l’Église. C’est une tĂąche que Dieu m’a confiĂ©e et je la fais pour Lui. C’est mon devoir, et non ma propre affaire privĂ©e.” C’est la premiĂšre chose que les gens doivent comprendre. Si tu considĂšres un devoir comme ton affaire personnelle et que tu ne recherches pas les principes de la vĂ©ritĂ© lorsque tu agis, et que tu l’accomplis selon tes propres motivations, tes propres idĂ©es et ton propre dessein, alors tu commettras trĂšs probablement des erreurs. Comment, donc, dois-tu agir si tu fais une distinction trĂšs claire entre ton devoir et tes affaires personnelles et que tu es conscient qu’il s’agit d’un devoir ? En cherchant ce que Dieu demande et en cherchant des principes. C’est vrai. Si quelque chose t’arrive et que tu ne comprends pas la vĂ©ritĂ©, et que tu as une idĂ©e mais que les choses ne sont toujours pas claires pour toi, alors tu dois trouver un frĂšre ou une sƓur qui comprend la vĂ©ritĂ©, avec qui Ă©changer c’est la recherche de la vĂ©ritĂ©, et c’est avant tout l’attitude que tu dois avoir vis-Ă -vis de ton devoir. Tu ne dois pas dĂ©cider des choses en fonction de ce que tu penses ĂȘtre appropriĂ©, puis donner le coup de marteau et dire que l’affaire est classĂ©e cela mĂšne facilement Ă  des problĂšmes. Un devoir n’est pas ton affaire personnelle qu’elles soient majeures ou mineures, les affaires de la maison de Dieu ne sont l’affaire personnelle de personne. Tant que cela se rapporte au devoir, ce n’est pas ton affaire privĂ©e, ce n’est pas ton affaire personnelle il s’agit de la vĂ©ritĂ©, et il s’agit du principe. Alors, quelle est la premiĂšre chose que vous devez faire ? Vous devez rechercher la vĂ©ritĂ© et rechercher les principes. Et si vous ne comprenez pas la vĂ©ritĂ©, vous devez d’abord rechercher les principes ; si vous comprenez dĂ©jĂ  la vĂ©ritĂ©, identifier les principes sera facile » Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a donnĂ© un chemin de pratique. Les devoirs sont des commissions de Dieu, il ne s’agit pas d’affaires personnelles, nous ne pouvons donc pas les faire Ă  notre guise, pour satisfaire nos intĂ©rĂȘts personnels. En toutes choses, nous devons chercher les principes de la vĂ©ritĂ©, et pratiquer selon les exigences de Dieu. Quand vous ne comprenez pas, vous devez Ă©changer et chercher avec les autres. Quoi que les autres pensent, vous n’avez qu’à accepter l’examen de Dieu et faire de votre mieux. MĂȘme s’il y a parfois des erreurs dans votre travail, et si vous n’obtenez pas rapidement de bons rĂ©sultats, si vous faites les choses devant Dieu, et non pour que les autres le voient, vous suivez le bon chemin, et Dieu vous guidera et vous bĂ©nira. Plus tard, je me suis ouvert Ă  mes frĂšres et sƓurs au sujet de moi-mĂȘme j’ai exposĂ© comment j’avais fait mon devoir pour la rĂ©putation et le statut, mon dĂ©sir de rĂ©ussite rapide, mes violations du principe quand j’utilisais des gens, comment j’avais agi arbitrairement, et traitĂ© et rĂ©primandĂ© abusivement, ce qui leur avait fait du tort. Je leur ai prĂ©sentĂ© mes excuses solennelles, et je leur ai demandĂ© de me surveiller davantage. Quand j’ai pratiquĂ© de cette façon, mes frĂšres et sƓurs ne m’ont pas regardĂ© de haut, ils m’ont encouragĂ©, et dit que nous pouvions nous superviser les uns les autres et travailler ensemble pour bien faire nos devoirs. BientĂŽt, il s’est passĂ© autre chose la diaconesse d’évangĂ©lisation a Ă©tĂ© temporairement dans l’incapacitĂ© de faire son devoir, parce que sa famille l’en empĂȘchait. Apprendre cette nouvelle m’a rendu un peu nerveux. Je me suis dit Actuellement, les Églises font tout ce qu’elles peuvent pour prĂȘcher l’Évangile, donc, si la diaconesse d’évangĂ©lisation ne peut pas accomplir son devoir, cela va gravement affecter notre travail ! Si je ne la remplace pas Ă  temps, nos rĂ©sultats ne s’amĂ©lioreront jamais. Mes supĂ©rieurs vont forcĂ©ment penser que je suis incompĂ©tent, que je ne conviens pas Ă  ce poste. » Alors j’ai discutĂ© avec ma partenaire pour dĂ©cider s’il fallait transfĂ©rer cette diaconesse et trouver quelqu’un pour la remplacer. Ma partenaire m’a dit Cette diaconesse d’évangĂ©lisation s’est toujours montrĂ©e responsable et compĂ©tente, et son travail d’évangĂ©lisation donne de bons rĂ©sultats, si tu la transfĂšres simplement parce que, temporairement, elle ne peut pas gĂ©rer l’obstruction de sa famille, cela va Ă  l’encontre des principes. » Alors que j’allais dĂ©fendre ma position, je me suis souvenu tout d’un coup que j’avais remplacĂ© SƓur Wu par la force. N’étais-je pas de nouveau en train d’agir pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut ? Ma partenaire me rappelait que je devais accomplir mon devoir selon les principes, j’avais failli commettre une nouvelle faute grave. J’ai remerciĂ© Dieu dans mon cƓur, et j’ai dit Ă  ma partenaire Mes intentions sont erronĂ©es je veux transfĂ©rer cette diaconesse sans principes, pour protĂ©ger ma rĂ©putation. Elle est responsable, c’est une personne correcte. Si elle ne peut pas faire son travail en ce moment, nous n’avons qu’à prendre la relĂšve et nous charger du travail d’évangĂ©lisation. Informons-nous Ă©galement de sa situation et essayons de la soutenir et de l’aider. » AprĂšs m’avoir Ă©coutĂ©, ma partenaire a acquiescĂ©, et je me suis senti Ă  l’aise en pratiquant de cette façon. Ensuite, quand j’ai fait mon devoir, je me suis souvent demandĂ© Ai-je accompli mon devoir conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ© aujourd’hui ? Ai-je interagi avec les gens avec un tempĂ©rament corrompu ? » Si je faisais quelque chose qui n’était pas conforme aux principes, et Ă  la volontĂ© de Dieu, je priais Dieu de m’aider Ă  changer. En pratiquant ainsi, j’ai vu les bĂ©nĂ©dictions de Dieu, le travail de l’Église s’est amĂ©liorĂ©, et mes frĂšres et sƓurs ont pu accomplir activement leurs devoirs. Dieu soit louĂ© !
Ilsont dĂ©jĂ  dit la rĂ©ponse j'ai mĂȘme pas eu le temps d'y rĂ©flĂ©chir. Citation. tonton 23 a Ă©crit: Qu'est ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir? reponse facile il faut juste etre logique. La vitesse de la lumiĂšre est supĂ©rieure Ă  celle du son. C'est pourquoi bien des gens ont l'air brillant jusqu'Ă  ce qu'ils ouvrent la bouche. Penser et rĂ©flĂ©chir ne sont pas parfaitement synonymes. On peut dire Je pense que tu as raison mais pas Je rĂ©flĂ©chis que tu as raison. En anglais, on peut opposer I think you're right Je pense que tu as raison Ă  I've been thinking J'ai bien rĂ©flĂ©chi. On indique ce que l'on pense ou Ă  qui / Ă  quoi l'on pense que, qui, quoi.Penser est normalement suivi d'un COD penser quelque chose / Il y a QUE dans QUELQUE, d'une conjonctive en QUE Je pense que tu as raison, du pronom interrogatif QUOI dans la langue familiĂšre Tu penses quoi ? Qu'est-ce que tu en penses ? Quel est ton avis sur la question ?, ou d'un COI Tu penses Ă  qui ? Tu penses Ă  quoi ?. Penser appelle le morphĂšme QU- de QU', QUE, QUI, QUOI, QUEL ou QUELQUE. RĂ©flĂ©chir rappelle COMMENT RĂ©flĂ©chissez-bien Ă  ma proposition / Parler sans rĂ©flĂ©chir. Dans As-tu rĂ©flĂ©chi que tu n'Ă©tais pas libre demain ?, on sous-entend une apprĂ©ciation du type "tu n'a pas bien rĂ©flĂ©chi, tu as pris ta dĂ©cision trop vite, c'est dommage, c'est malheureux, c'est prĂ©judiciable, c'est bĂȘte". On ne s'intĂ©resse pas au contenu de pensĂ©e que tu Ă©tais libre demain, qui n'est pas un Ă©lĂ©ment nouveau Est-ce que tu t'es souvenu que..., mais Ă  la qualitĂ© de ce qui y a menĂ© comment tu t'y es pris. Dans As-tu pensĂ© que tu n'Ă©tais pas libre demain ?, c'est la valeur informative de "que tu n'Ă©tais pas libre demain" qui prime, et non la valeur apprĂ©ciative qui est remise en cause ou en question tu n'as pas bien rĂ©flĂ©chi. Dans Je pense, donc je suis, peu importe ce que l'on pense ou comment on le pense, et peu importe les modalitĂ©s de l'existence qui je suis, comment je suis. Le verbe "penser" n'a pas de complĂ©ment penser quelque chose comme le verbe "ĂȘtre" est rĂ©duit Ă  sa fonction de verbe lexical exister, lĂ  oĂč dans ses autres emplois il est copule Je suis quelqu'un, Je suis bien, ou auxiliaire je suis parti. Quoi qu'il en soit, le verbe "penser" est avant tout informatif, alors que le verbe "rĂ©flĂ©chir" est avant tout apprĂ©ciatif. Descartes dit "Je pense, donc je suis", et non "Je rĂ©flĂ©chis, donc je suis", car il dĂ©sire informer. Alorsque le premier niveau Ă©tait relativement simple, les choses se compliquent dĂšs la 2Ăšme Ă©nigme du jeu Devine Moi. [selectad2] Devinette 2 : Qu'est ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir ? Il faudra ici s'intĂ©resser aux 2 sens du verbe "rĂ©flĂ©chir". Le premier Ă©tant son rapport aux images et Ă  la lumiĂšre, tandis que le second Ă©voquera la capacitĂ© Ă  penser, dont l'objet en PubliĂ© le 31/05/2018 Ă  15h35 RĂ©flĂ©chir est une chose qui n’est plus tout Ă  fait innĂ©e chez l’Homme. En effet, Ă  force d’agir machinalement, d’éviter de faire preuve de rĂ©flexion et de prendre pour acquis tout ce que l’on nous dit, il est difficile de faire la part des choses et de rĂ©flĂ©chir dans l’action. Cela arrive Ă  tout le monde, l’intelligence n’a pas rĂ©ellement grand-chose Ă  voir. C’est plutĂŽt la perspicacitĂ© qui fait dĂ©faut. Photo d'illustration Voici 18 personnes qui n’ont pas rĂ©ellement fait preuve de rĂ©flexion avant de faire ce qu’elles ont fait ! 1. Ce livreur UPS n’a pas imaginĂ© une seule seconde que quelqu’un pouvait ĂȘtre dans la maison
 HĂ© UPS, votre livreur a laissĂ© le colis sous la clenche de la porte comme ça et nous a empĂȘchĂ© de sortir de chez nous. Il a fallu que nous appelions un serrurier pour sortir ! » GallowBoob 2. Quitter la route et se retrouver sur un lac gelĂ©, ça ne pardonne pas ! Rgnxsupreme 3. Hum
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PrĂ©positionsĂ  employer aprĂšs le verbe. rĂ©flĂ©chir. Le verbe rĂ©flĂ©chir, au sens de « penser », peut s’utiliser sans prĂ©position ou avec les prĂ©positions Ă  ou sur. L’emploi de l’une ou de l’autre des constructions ne modifie pas le sens du verbe. RĂ©flĂ©chir peut s’employer sans complĂ©ment dĂ©signant l’objet de la rĂ©flexion. 27/06/2007, 09h30 1 morphdown MatiĂšre qui rĂ©flĂ©chit sur la matiĂšre - Merci pour les conseils, je vais faire des recherches sur cet Ă©crivain. Par contre pour recadrer le dĂ©bat vers la science, pourrait-on Ă©viter d'aller vers de conceptes phylo. mĂȘme si le theme abordĂ© est assez incitateur... Pour recadrer le dĂ©bat, il faut que je reformule ma question, qui au dĂ©part n'a pas Ă©tĂ© assez prĂ©cise Dans le monde scientifique, quel est le point de vue des -physiciens -chimistes -biologistes -mĂ©decine en gĂ©nĂ©ral Ă  cette question Est-ce que notre pensĂ©e est inductible de notre environnement, donc prĂ©visible et calculable, ou au contraire nous sommes maĂźtres de notre pensĂ©e et pouvons crĂ©er des relations entre la matiĂšre qui va induire la crĂ©ation de notre propre grĂ©? - 27/06/2007, 12h24 2 JPL Responsable des forums Re MatiĂšre qui rĂ©flĂ©chi sur la matiĂšre Ce message est le seul qui a Ă©tĂ© sauvĂ© d'une discussion supprimĂ©e pour cause de dĂ©rives philosophico-n'importequoi. Merci de bien vouloir rester dans le cadre qui a Ă©tĂ© dĂ©fini. Rien ne sert de penser, il faut rĂ©flĂ©chir avant - Pierre Dac 27/06/2007, 13h53 3 Bob Trebor Re MatiĂšre qui rĂ©flĂ©chi sur la matiĂšre Bonjour EnvoyĂ© par morphdown Est-ce que notre pensĂ©e est inductible de notre environnement, donc prĂ©visible et calculable, ou au contraire nous sommes maĂźtres de notre pensĂ©e et pouvons crĂ©er des relations entre la matiĂšre qui va induire la crĂ©ation de notre propre grĂ©? Je suis dĂ©solĂ© mais ton sujet est du domaine de la philosophie ou de la psychologie. Est maĂźtre de ses pensĂ©es celui qui les contrĂŽle, celui qui a la maĂźtrise de les faire cesser ou de les faire naĂźtre. C'est un exercice de concentration dont le niveau ultime concentration supĂ©rieure est la mĂ©ditation sur le vide vacuitĂ©. Imagine un sculpteur en action, sa crĂ©ation fait un avec lui, il est sa crĂ©ation par une nĂ©gation de lui-mĂȘme nĂ©gation du soi. LĂ , la relation avec la matiĂšre est une synthĂšse du sujet et de l'objet, il y a unicitĂ©. Dans le cas contraire sans nĂ©gation du soi par l'artiste, le sujet et l'objet reste en opposition, il y a dualitĂ©. L'ĂȘtre humain navigue entre une opposition totale oĂč il est le jouet de lui-mĂȘme et de son environnement, une opposition modĂ©rĂ©e oĂč il est tour Ă  tour le jouet et le joueur, une opposition maĂźtrisĂ©e oĂč il est Ă  la fois le jouet et le joueur oĂč ce qui exprime est ce qui est exprimĂ©. Au niveau de l'observation mĂ©dicale, on peut retrouver ces diffĂ©rents Ă©tats d'esprit ou niveau de conscience par cartographie scanner,irm des zones cĂ©rebrales en activitĂ© ou non. En physique, la mĂ©canique quantique a montrĂ© l'inmportance de l'observateur qui malgrĂ© lui, se retrouve impliquĂ© dans le rĂ©sultat de l'expĂ©rience. La rĂ©ponse Ă  ta question serait"les deux mon capitaine". Nous sommes Ă  la fois, consciemment ou inconsciemment, créées et crĂ©ateurs en allant de ce qui crĂ©e Ă  ce qui est créée. Si le diffĂ©rent Ă©tait diffĂ©rent du diffĂ©rent, il existerait sans le diffĂ©rent Nagarjuna 27/06/2007, 14h03 4 morphdown Re MatiĂšre qui rĂ©flĂ©chi sur la matiĂšre Moi je pense qu'on peut aborder cette question purement dans une analyse scientifique. Le but n'Ă©tant pas de rĂ©pondre Ă  la question, mais de dĂ©velloper un raisonnement. -Observation -Supposition/HypothĂšse -ExpĂ©rimentation -Conclusion Au niveau actuel, oĂč en sont les recherches au niveau des neuronnes? Aujourd'hui A voir en vidĂ©o sur Futura 27/06/2007, 19h29 5 Re MatiĂšre qui rĂ©flĂ©chi sur la matiĂšre Est-ce que notre pensĂ©e est inductible de notre environnement, Le inventions ou idĂ©es sont souvent comme on dit populairement "dans l'air du temps". Cela signifie que plusieurs personnes ont eu des idĂ©es convergentes au mĂȘme moment, et que les Ă©vĂšnements extĂ©rieurs en sont la cause donc prĂ©visible et calculable, ou au contraire nous sommes maĂźtres de notre pensĂ©e prĂ©visible ou calculable , Non c'est trop complexe. Intuitivement ressentir la pensĂ©e d'autrui cela parait possible. Maitre de nos pensĂ©es, encore faut il se libĂ©rer d'aprioris ou d'Ă©ducations strictes , etc... et pouvons crĂ©er des relations entre la matiĂšre qui va induire la crĂ©ation de notre propre grĂ©? AprĂšs avoir fumĂ©e une barrette de "chit" , peut ĂȘtre ... J'en ai connu qui Ă©teignaient les rĂ©verbĂšres en claquant des doigts aprĂšs avoir fumĂ© d'aprĂšs leur dire Ou du LSD vraisemblablement plus surement , LOL. .
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