Voicile mot Ă trouver pour la dĂ©finition "Le garder, c'est ne pas cĂ©der Ă la panique" ( groupe 78 â grille n°2) : s a n g f r o i d Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici.
Au dĂ©but de la crise du coronavirus, Michel Cymes ne voulait pas tomber dans la panique. Et il n'a visiblement pas changĂ© d'avis sur la question... Dans une interview accordĂ©e au JDD, le cĂ©lĂšbre mĂ©decin ORL a jugĂ© qu'il "faudrait arrĂȘter avec les taux et les chiffres de mortalitĂ©" publiĂ©s quotidiennement. Et pour cause, dit-il "C'est inutilement anxiogĂšne".Le nombre de morts, ce n'est pas le plus importantAu risque de contredire Michel Cymes, selon les derniers chiffres du ministĂšre, en France, la pandĂ©mie de coronavirus a dĂ©jĂ causĂ© la mort de 562 personnes, soit 112 de plus pour la journĂ©e de samedi 21 mars. A ce jour, malades dont hospitalisĂ©s, dont en rĂ©animation pour la moitiĂ© ĂągĂ©s de moins de 60 ans.Des chiffres qui ne semblent pas effrayer tout le monde... Pour preuve, trop de Français prennent encore "Ă la lĂ©gĂšre" le confinement, comme le dĂ©plorait le prĂ©sident, Emmanuel Macron, cette prĂ©sent qu'il ne considĂšre plus le Covid-19 comme une "grippette", Michel Cymes estime toutefois qu'il est essentiel de "rassurer d'un cĂŽtĂ©, sensibiliser de l'autre et dĂ©bugger les fake news" pour rĂ©soudre cette crise. La "rĂšgle est simple", dit-il, quand on s'adresse au grand public, il faut "se garder de toute intuition et rester dans la preuve".Le Samu est dĂ©bordĂ©Mais alors pourquoi ne pas communiquer le nombre de morts et de contaminĂ©s ? Parce que, explique-t-il "Ă la tĂ©lĂ©, quand c'est balancĂ©, c'est balancĂ©", et ces informations ont souvent de lourdes consĂ©quences... Michel Cymes dĂ©plore aujourd'hui "une multiplication par quatre d'appels au Samu depuis le dĂ©but de la crise". Des lignes saturĂ©es qui devraient ĂȘtre rĂ©servĂ©s aux cas sĂ©rieux.>> A voir aussi Zapping Michel Cymes vexĂ© par la bourde d'Anne-Elisabeth lire aussi Michel Cymes en stress total dans "TĂ©lĂ©matin" ouh, la cata ! Michel Cymes poussĂ© vers la sortie ? Tout va mal pour lâanimateur !
Jene suis pas au cĆur de la bataille. Jâessaie surtout de ne pas cĂ©der Ă la panique quand je la sens monter car, Ă mon Ă©chelle, je ne peux rien faire, si ce nâest ne pas contaminer les gens qui mâentourent. Quand as-tu prĂ©vu de revenir en France ? Câest la grande question ! Pour le moment, je ne peux pas voyager. Pas question deSi la situation liĂ©e au Covid-19 continue de se dĂ©grader, les commerçants et les restaurateurs de La Roche-sur-Yon restent attentifs et espĂšrent un Ă©tĂ© sans restrictions. Par Pierre Barboteau PubliĂ© le 13 Juil 22 Ă 1208 mis Ă jour le 13 Juil 22 Ă 1208 Le Journal du Pays Yonnais Patrick, patron du 27 Raymond-PoincarĂ©. ©Pierre BARBOTEAULa remontĂ©e vertigineuse des cas de Covid-19 en VendĂ©e ces derniers jours laisse planer le doute et lâinquiĂ©tude chez les commerçants et les restaurateurs de La certains Ă©tablissements font le choix de renforcer les mesures de protection face au virus, dâautres prĂ©fĂšrent, pour le moment, ne pas cĂ©der Ă la panique. Ils sont nombreux Ă ne pas avoir souhaitĂ© Ă©voquer le sujet afin dâĂ©viter la psychose », comme on a pu lâentendre Ă plusieurs retour du masqueInterrogĂ©e, la direction de la librairie Agora treize salariĂ©s, situĂ©e rue Clemenceau, admet une forme de lassitude depuis deux ans », notamment sur la problĂ©matique du port du masque. On le met, ensuite on lâenlĂšve, ça devient pĂ©nible pour tout le monde », assĂšne le gĂ©rant. On voit que le Covid redĂ©marre depuis quelques jours, on le ressent. Depuis une dizaine de jours, des clients reviennent avec le masque sur le nez, notamment les personnes ĂągĂ©es. » Certains salariĂ©s de la librairie ont aussi remis le masque au travail, mais pour le moment, nous nâavons pas imposĂ© de rĂšgles. On va voir comment la situation Ă©volue dans les prochaines semaines ».Toutefois, malgrĂ© la recrudescence des cas de Covid-19 dans le dĂ©partement, lâaffluence est au rendez-vous Ă lâapproche de lâĂ©tĂ©. Les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes ont Ă©tĂ© tellement bizarres avec les fermetures et rĂ©ouvertures de commerces. LâĂ©tĂ©, on travaille, car il y a un afflux touristique Ă La Roche-sur-Yon, qui sert de ville Ă©tape avant de se rendre sur le littoral. » Florian, gĂ©rant du magasin de chaussures Quartier GĂ©nĂ©ral, Ă La Roche-sur-Yon. ©Pierre BARBOTEAU Chacun est libre de faire ce quâil veut »Aux abords de la place NapolĂ©on, lâatmosphĂšre parait un peu plus dĂ©tendue, mĂȘme si la prudence reste de mise. Florian, gĂ©rant du magasin de chaussures Quartier GĂ©nĂ©ral, nâa pas constatĂ© de changement dans les habitudes et comportements des clients. Concernant le masque, chacun est libre de faire ce quâil veut. Il y a toujours eu des gens qui gardaient le masque, mĂȘme lorsque ce nâĂ©tait plus obligatoire », souligne le son magasin, les plexiglas au niveau de la caisse et les gels hydroalcooliques Ă lâentrĂ©e de lâĂ©tablissement nâont jamais Ă©tĂ© retirĂ©s. On a pris le rĂ©flexe de les garder. Ceux qui veulent se protĂ©ger, se protĂšgent et inversement. Je pense quâon a assez obligĂ© les gens pendant un moment, il faut les laisser tranquilles. »VidĂ©os en ce moment sur ActuUn regain de clientĂšle malgrĂ© le CovidDans les restaurants yonnais, on croise les doigts pour que le Covid ne gĂąche pas lâĂ©tĂ©. On espĂšre et on sâattend Ă avoir un regain de la clientĂšle, câĂ©tait dĂ©jĂ le cas en juin. On a recrutĂ© des saisonniers en consĂ©quence. On espĂšre que la vague du Covid ne va pas tout freiner. MalgrĂ© le virus, on sent que les gens veulent venir au restaurant et profiter de leurs vacances », explique Alexandra, directrice adjointe de la brasserie Le Clemâ, dans la rue Clemenceau. TrĂšs prisĂ©, le restaurant compte en moyenne entre 200 et 300 couverts, chaque midi et soir. Lâaffluence y est grandissante depuis quelques semaines. Les touristes et les locaux sont prĂ©sents, la clientĂšle Ă©trangĂšre commence Ă arriver. » Sont-ils plus mĂ©fiants par rapport au Covid ? Certains clients reprennent le masque alors que personne ne le portait il y a deux semaines. On voit que les gens remettent du gel, prennent leur distance ou Ă©vitent de se lever pour payer. Ils font de nouveau attention. » Le Clemâ redoute au plus haut point une fermeture comme il y a deux ans. Sâil faut mettre des choses en place, on le fera. On sera lĂ pour nos clients. On va voir au jour le jour et essayer de passer lâĂ©tĂ© au mieux. » On ne rattrapera jamais le retard »Un peu plus loin derriĂšre la place de la VendĂ©e, Patrick, gĂ©rant du bar-restaurant le 27 Raymond-PoincarĂ©, ne remarque pas spĂ©cialement dâinquiĂ©tude de la part de ses clients. TrĂšs peu arrivent avec le masque sur le nez. Par contre, quand on observe la rue tous les jours, on voit de plus en plus de personnes masquĂ©es. Le centre-ville et nous, ce nâest pas la mĂȘme ambiance. La façon de vivre des gens nâest pas la mĂȘme. »Le patron observe toutefois une baisse gĂ©nĂ©rale du nombre de clients, en ce moment. La baisse des cartes de Tickets restaurant Ă 19 euros au lieu de 36, a fait du mal. On ne rattrapera jamais le retard dâil y a deux ans. On va travailler et voir comment ça se passe. On nous dit quâune personne sur deux part en vacances cet Ă©tĂ©. Est-ce que les touristes auront un budget pour le restaurant ? On va croiser les doigts. » Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Journal du Pays Yonnais dans lâespace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute lâactualitĂ© de vos villes et marques favorites.
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