ï»żPoĂšmede Charles PEGUY La mort n’est rien, je suis simplement passĂ© dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©. Je suis moi, vous ĂȘtes vous. Ce que nous Ă©tions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donnĂ©, Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait, N’employez pas un ton solennel ou triste,
concert jul lyon 2021 PubliĂ© le 5 juin 2022 Avant de travailler dans ce domaine, je suis restĂ© 10 ans dans la restauration Ă  Paris. Le pour Spaced Repetition System, fonctionne sur le principe de l’assimilation progressive. Sentiment de douleur, d'engourdissement. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. J’en ai rĂȘvĂ© pendant des nuits Ă  cĂŽtĂ© de mon mari. Cet outil fait appel au pour Ă©chelonner les rĂ©visions. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . La compagnie théùtrale La Sentinelle propose du 7 au 9 juin sa relecture du texte M’appelle Mohamed Ali de l’auteur congolais DieudonnĂ© Niangouna. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre De plus, je savais aussi, de mes expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes, que la quantitĂ© de sperme est bien plus grande le matin aprĂšs un bonne nuit de repos. C’était juste mon imagination mais je voulais tellement rĂ©aliser ce fantasme. Les proverbes populaires ne sont pas en reste non plus concernant l'amour. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. Royaumes de la terre, chantez pour Dieu, jouez pour le Seigneur. ou AllĂ©luia ! [Suivi d'un compl. En rĂ©sumĂ©, les tout premiers mots que vous apprenez reviendront de moins en 
 Simplement parce que je suis hors de votre vue ? Au bord du vide de Paul Eluard L'incomprĂ©hension et colĂšre sont souvent les sentiments Ă©prouvĂ©s lors d'un deuil. le 1rm comme stipuler au 
 J’emmerde les lois et les quidams. physiol. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . AppliquĂ©e contre le palais, la langue n'est en contact avec aucun corps qui puisse y produire un sentiment de saveur Bichat, Rech. Donc je fais mon 
 vie et mort, 1822, p. 195. Je suis une femme de 30 ans, j’ai eu deux enfants donc le ventre qui tombe un peu j’ai perdu prĂšs de 30 kilos en deux ans naturellement en prenant de bonnes habitudes alimentaires et j’aimerais savoir comment je peux m’y prendre pour me lancer, pour dĂ©buter dans le monde de de la musculation. Je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. La passion amoureuse qui emplit notre vie et nos pensĂ©es, les grands auteurs ont tentĂ© de la dĂ©crire, parfois avec humour, souvent avec inspiration. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. du n.] Sensation. R/ Royaumes de la terre, chantez pour le Seigneur. Jamais de laisse ou de museliĂšre en promenade dans les bois ou sur les dunes. Je ne veux pas ĂȘtre une reine de la muscu ou battre des records juste avoir une 
 offre une base de donnĂ©es exclusive comprenant des mĂ©moires, commentaires composĂ©s, dissertations, fiches de lecture, discours et notes de recherche. PensĂ©es, citations d'amour et proverbes d'amour L'amour a toujours Ă©tĂ© l'un des thĂšmes de citations prĂ©fĂ©rĂ©s. De ton palais, qui domine JĂ©rusalem, on voit des rois t’apporter leurs prĂ©sents. Tant de choses qui restaient encore Ă  accomplire au cĂŽtĂ© de la personne disparue. Sauf que je suis pas d'accord pour ranger les choses qu'il avait eu le temps de ranger dans des moments de calme. Je voulais que Poppy m’en mette plein la chatte. D’un cĂŽtĂ© une image, de l’autre une description des actions et dialogues. En tant qu'auteur et compositeur, je suis parfois conviĂ© sur les plateaux, mais surtout en bouche-trou, je le sais parfaitement. Également, vous trouverez ci-dessous une page de storyboard de mon projet Dissonance. 67, 33a Ton Dieu l’a commandĂ© Sois fort ! Mais en 2012, je me suis lancĂ© dans une recherche intensive de santĂ© et de bien-ĂȘtre, me rendant au NĂ©pal, en Inde, en ThaĂŻlande, en IndonĂ©sie et 
 La journaliste Caroline Anfossi a accompagnĂ© sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle RaphaĂ«l, 16 ans, pour un sĂ©jour de rupture », en alternative Ă  la prison. En sortant du bain j'ai eu un lĂ©ger sentiment de froid, et je me suis mis au lit Maine de Biran, Journal, 1816, p. 157. » Montre ta force, Dieu, quand tu agis pour nous ! 30 reps a 80 kg =15 reps Ă  100 kg = 10 reps a 110 kg = 5 reps a 120 kg. Quidams qui peuvent quidamer sans s’occuper de nous. Et tant d’ordres auxquels il obĂ©it immĂ©diatement. Perso, que je sois en caisse ou en rangement de courses, en soirĂ©e Ă  partir de 21h, je vais commencer Ă  ranger ce qui est en trop. Que s'ouvre devant moi le chemin de mes larmes,/ Car je suis Ă  prĂ©sent l'artisan de mon Ăąme./ Je ne crains ni les bĂȘtes, ni les Hommes,/ Ni l'hiver, ni le froid, ni les vents./ Au jour oĂč je pars vers les forĂȘts d'ombres, de haines et de peur,/ Que l'on me pardonne mes errements et que l'on me pardonne mes erreurs, / Moi qui ne suis qu'un petit voyageur,/ Qui ne suis que la 
 Je l'ai connu plein de fois ouais. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. Je viens juste de finir ma premiĂšre prise de vue pour cette Ă©mission de deuxiĂšme partie de soirĂ©e. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. J’aime aussi l’outil de rĂ©vision qui nous fait revoir tous les mots de vocabulaire appris depuis le dĂ©but de l’utilisation de Babbel. Elle m'Ă©vitera les mĂ©andres 1 de la route, le chemin sera plus court et je sais qu'elle passe prĂšs de la maison oĂč je vis. La nuit, aucun train n'y circule, je n'y risque rien et c'est ainsi que je me retrouverai. Et pour les badauds renfrognĂ©s, mĂȘme motif et mĂȘme punition. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre Ils peuvent aller badauder ailleurs que sur notre chemin. Le schĂ©ma patriarcal, c'est le mec qui s'en fout du plaisir de l'autre, qui ne prend le temps de rien, le rapport sans rĂ©ciprocitĂ© aucune avec zĂ©ro prise de temps et zĂ©ro attention Ă  la femme. Bien ĂȘtre – mĂ©ditation À propos de l’auteur j’enseigne la mĂ©ditation, le bien-ĂȘtre et je suis Ă©galement quelque fois auteur pour ESM. ♩ P. mĂ©ton. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. Bonjour, avec mon expĂ©rience personnelle, voici une correspondance, qui peut vous permettre de cibler un peu ou vous en ĂȘtes et de connaitre un peu vos caracteristiques pour savoir si vous vos fibres lentes ou rapides dominent chez vous et par consĂ©quent adapter votre entrainement. Si Ă  chaque plan coĂŻncide un jolie petit dessin, vous trouverez aussi une petite description de ce qui se passe Ă  l’image. À un moment, je suis Ă  l'entrĂ©e d'un viaduc 2 immense, il domine la vallĂ©e que je devine sous la lune, et je marche seul dans la nuit, Ă  Ă©gale distance du ciel et de la terre. Et j'aurais adorĂ© dans ces rapports que le mec me masturbe en prenant le temps de savoir comment faire Ă©tant donnĂ© que c'est mon truc prĂ©fĂ©rĂ© Sauf que ce collĂšgue va attendre, ranger plus tard, sauf que faut quand mĂȘme qu'on range avant de partir. Vous voyez, tout est bien. PoĂšme FĂȘte Maman, Cap BĂ©nat Luc Besson, Outlook Contacts Uniquement Cet Ordinateur, Saint Malo Jacques Cartier, Colis Pologne Vers France Temps Gls, Temps De Livraison Shein Confinement, Hermes Vision Statement, Garage Restauration 4l, Avant de travailler dans ce domaine, je suis restĂ© 10 ans dans la restauration Ă  Paris. Le pour Spaced Repetition System, fonctionne sur le principe de l’assimilation progressive. Sentiment de douleur, d'engourdissement. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. J’en ai rĂȘvĂ© pendant des nuits Ă  cĂŽtĂ© de mon mari. Cet outil fait appel au pour Ă©chelonner les rĂ©visions. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . La compagnie théùtrale La Sentinelle propose du 7 au 9 juin sa relecture du texte M’appelle Mohamed Ali de l’auteur congolais DieudonnĂ© Niangouna. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre De plus, je savais aussi, de mes expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes, que la quantitĂ© de sperme est bien plus grande le matin aprĂšs un bonne nuit de repos. C’était juste mon imagination mais je voulais tellement rĂ©aliser ce fantasme. Les proverbes populaires ne sont pas en reste non plus concernant l'amour. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. Royaumes de la terre, chantez pour Dieu, jouez pour le Seigneur. ou AllĂ©luia ! [Suivi d'un compl. En rĂ©sumĂ©, les tout premiers mots que vous apprenez reviendront de moins en 
 Simplement parce que je suis hors de votre vue ? Au bord du vide de Paul Eluard L'incomprĂ©hension et colĂšre sont souvent les sentiments Ă©prouvĂ©s lors d'un deuil. le 1rm comme stipuler au 
 J’emmerde les lois et les quidams. physiol. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . AppliquĂ©e contre le palais, la langue n'est en contact avec aucun corps qui puisse y produire un sentiment de saveur Bichat, Rech. Donc je fais mon 
 vie et mort, 1822, p. 195. Je suis une femme de 30 ans, j’ai eu deux enfants donc le ventre qui tombe un peu j’ai perdu prĂšs de 30 kilos en deux ans naturellement en prenant de bonnes habitudes alimentaires et j’aimerais savoir comment je peux m’y prendre pour me lancer, pour dĂ©buter dans le monde de de la musculation. Je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. La passion amoureuse qui emplit notre vie et nos pensĂ©es, les grands auteurs ont tentĂ© de la dĂ©crire, parfois avec humour, souvent avec inspiration. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. du n.] Sensation. R/ Royaumes de la terre, chantez pour le Seigneur. Jamais de laisse ou de museliĂšre en promenade dans les bois ou sur les dunes. Je ne veux pas ĂȘtre une reine de la muscu ou battre des records juste avoir une 
 offre une base de donnĂ©es exclusive comprenant des mĂ©moires, commentaires composĂ©s, dissertations, fiches de lecture, discours et notes de recherche. PensĂ©es, citations d'amour et proverbes d'amour L'amour a toujours Ă©tĂ© l'un des thĂšmes de citations prĂ©fĂ©rĂ©s. De ton palais, qui domine JĂ©rusalem, on voit des rois t’apporter leurs prĂ©sents. Tant de choses qui restaient encore Ă  accomplire au cĂŽtĂ© de la personne disparue. Sauf que je suis pas d'accord pour ranger les choses qu'il avait eu le temps de ranger dans des moments de calme. Je voulais que Poppy m’en mette plein la chatte. D’un cĂŽtĂ© une image, de l’autre une description des actions et dialogues. En tant qu'auteur et compositeur, je suis parfois conviĂ© sur les plateaux, mais surtout en bouche-trou, je le sais parfaitement. Également, vous trouverez ci-dessous une page de storyboard de mon projet Dissonance. 67, 33a Ton Dieu l’a commandĂ© Sois fort ! Mais en 2012, je me suis lancĂ© dans une recherche intensive de santĂ© et de bien-ĂȘtre, me rendant au NĂ©pal, en Inde, en ThaĂŻlande, en IndonĂ©sie et 
 La journaliste Caroline Anfossi a accompagnĂ© sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle RaphaĂ«l, 16 ans, pour un sĂ©jour de rupture », en alternative Ă  la prison. En sortant du bain j'ai eu un lĂ©ger sentiment de froid, et je me suis mis au lit Maine de Biran, Journal, 1816, p. 157. » Montre ta force, Dieu, quand tu agis pour nous ! 30 reps a 80 kg =15 reps Ă  100 kg = 10 reps a 110 kg = 5 reps a 120 kg. Quidams qui peuvent quidamer sans s’occuper de nous. Et tant d’ordres auxquels il obĂ©it immĂ©diatement. Perso, que je sois en caisse ou en rangement de courses, en soirĂ©e Ă  partir de 21h, je vais commencer Ă  ranger ce qui est en trop. Que s'ouvre devant moi le chemin de mes larmes,/ Car je suis Ă  prĂ©sent l'artisan de mon Ăąme./ Je ne crains ni les bĂȘtes, ni les Hommes,/ Ni l'hiver, ni le froid, ni les vents./ Au jour oĂč je pars vers les forĂȘts d'ombres, de haines et de peur,/ Que l'on me pardonne mes errements et que l'on me pardonne mes erreurs, / Moi qui ne suis qu'un petit voyageur,/ Qui ne suis que la 
 Je l'ai connu plein de fois ouais. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. Je viens juste de finir ma premiĂšre prise de vue pour cette Ă©mission de deuxiĂšme partie de soirĂ©e. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. J’aime aussi l’outil de rĂ©vision qui nous fait revoir tous les mots de vocabulaire appris depuis le dĂ©but de l’utilisation de Babbel. Elle m'Ă©vitera les mĂ©andres 1 de la route, le chemin sera plus court et je sais qu'elle passe prĂšs de la maison oĂč je vis. La nuit, aucun train n'y circule, je n'y risque rien et c'est ainsi que je me retrouverai. Et pour les badauds renfrognĂ©s, mĂȘme motif et mĂȘme punition. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre Ils peuvent aller badauder ailleurs que sur notre chemin. Le schĂ©ma patriarcal, c'est le mec qui s'en fout du plaisir de l'autre, qui ne prend le temps de rien, le rapport sans rĂ©ciprocitĂ© aucune avec zĂ©ro prise de temps et zĂ©ro attention Ă  la femme. Bien ĂȘtre – mĂ©ditation À propos de l’auteur j’enseigne la mĂ©ditation, le bien-ĂȘtre et je suis Ă©galement quelque fois auteur pour ESM. ♩ P. mĂ©ton. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. Bonjour, avec mon expĂ©rience personnelle, voici une correspondance, qui peut vous permettre de cibler un peu ou vous en ĂȘtes et de connaitre un peu vos caracteristiques pour savoir si vous vos fibres lentes ou rapides dominent chez vous et par consĂ©quent adapter votre entrainement. Si Ă  chaque plan coĂŻncide un jolie petit dessin, vous trouverez aussi une petite description de ce qui se passe Ă  l’image. À un moment, je suis Ă  l'entrĂ©e d'un viaduc 2 immense, il domine la vallĂ©e que je devine sous la lune, et je marche seul dans la nuit, Ă  Ă©gale distance du ciel et de la terre. Et j'aurais adorĂ© dans ces rapports que le mec me masturbe en prenant le temps de savoir comment faire Ă©tant donnĂ© que c'est mon truc prĂ©fĂ©rĂ© Sauf que ce collĂšgue va attendre, ranger plus tard, sauf que faut quand mĂȘme qu'on range avant de partir. Vous voyez, tout est bien. PoĂšme FĂȘte Maman, Cap BĂ©nat Luc Besson, Outlook Contacts Uniquement Cet Ordinateur, Saint Malo Jacques Cartier, Colis Pologne Vers France Temps Gls, Temps De Livraison Shein Confinement, Hermes Vision Statement, Garage Restauration 4l,
Je suis juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin” – Henry Scott-Holland (Souvent lu lors des obsĂšques, ce poĂšme est parfois aussi attribuĂ© Ă  St Augustin ou encore Ă  Charles PĂ©guy). La mort n’est rien, je suis seulement passĂ©, dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©. Je suis moi. Vous ĂȘtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donnĂ©
Souriez, La Mort N’est RienLa mort n’est rien,Je suis seulement passĂ© dans la piĂšce Ă  suis moi, et vous, vous ĂȘtes vousCe que nous Ă©tions les uns pour les autresNous le sommes toujours,Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donnĂ©,Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait,N’employer pas un ton diffĂ©rent,Ne prenez pas un ton solennel ou triste,Continuez Ă  rireDe ce qui nous faisait rire souriez, pensez Ă  moi, priez pour moi,Que mon nom soit prononcĂ© dans la maisonSans emphase d’aucune sorte,Sans une trace d’ vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifiĂ©,Elle est ce qu’elle a toujours Ă©tĂ©,Le fil n’est pas coupĂ©Continuez Ă  rire,Pourquoi serai-je hors de votre vue ?Je vous attends, 
 je ne suis pas loin
Juste de l’autre cotĂ© du chemin
Vous voyez, tout est bien
 Alors De L'ÉcritSyllabes HyphĂ©nique Souriez, La Mort N’est Rienla=mort=nest=rien 4je=suis=seule=ment=pas=sĂ©=dans=la=piĂš=ceĂ =co=tĂ© 12je=suis=moi=et=vous=vous=ĂȘ=tes=vous 9ce=que=nous=Ă©=tions=les=uns=pour=les=autres 10nous=le=som=mes=tou=jours 6don=nez=moi=le=nom=que=vous=ma=vez=tou=jours=don=nĂ© 13par=lez=moi=comme=vous=la=vez=tou=jours=fait 10nem=ploy=er=pas=un=ton=dif=fĂ©=rent 9ne=pre=nez=pas=un=ton=solen=nel=ou=triste 10conti=nuez=Ă =ri=re 5de=ce=qui=nous=fai=sait=ri=re=en=semble 10priez=sou=riez=pen=sez=Ă =moi=priez=pour=moi 10que=mon=nom=soit=pro=non=cĂ©=dans=la=mai=son 11sans=em=pha=se=dau=cu=ne=sor=te 9sans=u=ne=tra=ce=dom=bre 7la=vie=si=gni=fie=tout=ce=quel=lea=tou=jours=si=gni=fiĂ© 14elle=est=ce=quel=le=a=tou=jours=Ă©=tĂ© 10le=fil=nest=pas=cou=pĂ© 6conti=nuez=Ă =ri=re 5pour=quoi=se=rai=je=hors=de=vo=tre=vue 10je=vous=at=tends=je=ne=suis=pas=loin 9jus=te=de=lau=tre=co=tĂ©=du=che=min 10vous=voyez=tout=est=bien=a=lors=sou=riez 9PhonĂ©tique Souriez, La Mort N’est Rienla mɔʁ nΔ ʁjɛ̃,ʒə sÉ„i sələmɑ̃ pase dɑ̃ la pjΔsə a sÉ„i mwa, e vu, vuz- Δtə vusə kə nuz- esjɔ̃ lΔz- Ć“Ìƒ puʁ lΔz- otʁənu lə sɔmə tuʒuʁ,dɔne mwa lə nɔ̃ kə vu mave tuʒuʁ dɔne,paʁle mwa kɔmə vu lave tuʒuʁ fΔ,nɑ̃plwaje pa Ć“Ìƒ tɔ̃ difeʁɑ̃,nə pʁəne pa Ć“Ìƒ tɔ̃ sɔlΔnΔl u tʁistə,kɔ̃tinÉ„ez- a ʁiʁədə sə ki nu fəzΔ ʁiʁə suʁje, pɑ̃sez- a mwa, pʁje puʁ mwa,kə mɔ̃ nɔ̃ swa pʁonɔ̃se dɑ̃ la mΔzɔ̃sɑ̃z- ɑ̃fazə dokynə sɔʁtə,sɑ̃z- ynə tʁasə vi siÉČifi tu sə kΔllə a tuʒuʁ siÉČifje,Δllə Δ sə kΔllə a tuʒuʁz- ete,lə fil nΔ pa kupekɔ̃tinÉ„ez- a ʁiʁə,puʁkwa səʁΔ ʒə ɔʁ də vɔtʁə vÉ„ ?ʒə vuz- atɑ̃, 
 ʒə nə sÉ„i pa lwɛ̃ ʒystə də lotʁə kɔte dy ʃəmɛ̃ vu vwaje, tut- Δ bjɛ̃  alɔʁ PhonĂ©tique Souriez, La Mort N’est Rienla=mɔʁ=nΔ=ʁj=ɛ̃ 5ʒə=sÉ„isə=lə=mɑ̃=pa=se=dɑ̃=la=pjΔ=səa=kɔ=te 12ʒə=sÉ„i=mwa=e=vu=vu=zΔtə=vu 8sə=kə=nu=ze=sjɔ̃=lΔ=zĆ“Ìƒ=puʁ=lΔ=zotʁə 10nu=lə=sɔ=mə=tu=ʒuʁ 6dɔ=ne=mwalə=nɔ̃=kə=vu=ma=ve=tu=ʒuʁ=dɔ=ne 12paʁ=le=mwa=kɔmə=vu=la=ve=tu=ʒuʁ=fΔ 10nɑ̃=plwa=j=e=pa=Ć“Ìƒ=tɔ̃=di=fe=ʁɑ̃ 10nə=pʁə=ne=pa=Ć“Ìƒ=tɔ̃=sɔ=lΔ=nΔl=utʁistə 10kɔ̃=tin=É„e=za=ʁi=ʁə 6də=sə=ki=nu=fə=zΔ=ʁi=ʁə=ɑ̃=sɑ̃blə 10pʁje=su=ʁje=pɑ̃=se=za=mwa=pʁje=puʁ=mwa 10kə=mɔ̃=nɔ̃=swa=pʁo=nɔ̃se=dɑ̃=la=mΔ=zɔ̃ 10sɑ̃=zɑ̃=fa=zə=do=ky=nə=sɔʁ=tə 9sɑ̃=zy=nə=tʁa=sə=dɔ̃=bʁə 7la=vi=si=ÉČi=fi=tusə=kΔlləa=tu=ʒuʁ=si=ÉČi=fje 12Δl=lə=Δsə=kΔl=lə=a=tu=ʒuʁ=ze=te 10lə=fil=nΔ=pa=ku=pe 6kɔ̃=tin=É„e=za=ʁi=ʁə 6puʁ=kwa=sə=ʁΔ=ʒə=ɔʁ=də=vɔ=tʁə=vÉ„ 10ʒə=vu=za=tɑ̃=ʒə=nə=sÉ„i=pa=lwɛ̃ 9ʒys=tə=də=lo=tʁə=kɔ=te=dy=ʃə=mɛ̃ 10vu=vwa=je=tu=tΔ=bjɛ̃=a=lɔʁ=su=ʁje 10PostScriptumun ĂȘtre qui nous a quittĂ© il y a 1 an le 20 octobre Commentaires Sur La Poesie03/11/2004 0000Oraurewow cest vraiment bo26/01/2005 0000GhostangelMagnifique poĂšme ! Continu. AmitiĂ©s27/01/2005 0000Cheperdesetoilesbeau poeme. . . . je suis sure que la personne penser comme toi. . . . . . . plin de smizouille06/10/2005 1650Julliance poĂšme est magnifique...pleins de bonnes choses. Je l’adore!! PoĂšme MortPubliĂ© le 02/11/2004 0318 L'Ă©crit contient 159 mots qui sont rĂ©partis dans 1 strophes. Poete Beb0U RĂ©compense Texte des commentateurs Lamort n’est rien. Je suis simplement passĂ© dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous Ă©tions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donnĂ©. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. De votre nom j’orne le frontispice Des derniers vers que ma Muse a polis. Puisse le tout ĂŽ charmante Philis, Aller si loin que notre los franchisse La nuit des temps nous la saurons dompter Moi par Ă©crire, et vous par rĂ©citer. Nos noms unis perceront l’ombre noire Vous rĂ©gnerez longtemps dans la mĂ©moire, AprĂšs avoir rĂ©gnĂ© jusques ici Dans les esprits, dans les cƓurs mĂȘme aussi. Qui ne connaĂźt l’inimitable actrice ReprĂ©sentant ou PhĂšdre, ou BĂ©rĂ©nice ChimĂšne en pleurs, ou Camille en fureur ? Est-il quelqu’un que votre voix n’enchante ? S’en trouve-t-il une autre aussi touchante ? Une autre enfin allant si droit au cƓur ? N’attendez pas que je fasse l’éloge De ce qu’en vous on trouve de parfait Comme il n’est point de grĂące qui n’y loge Ce serait trop, je n’aurais jamais fait. De mes Philis vous seriez la premiĂšre. Vous auriez eu mon Ăąme toute entiĂšre Si de mes vƓux j’eusse plus prĂ©sumĂ©, Mais en aimant qui ne veut ĂȘtre aimĂ©? Par des transports n’espĂ©rant pas vous plaire, Je me suis dit seulement votre ami ; De ceux qui sont amants plus d’à demi Et plĂ»t au sort que j’eusse pu mieux faire. Ceci soit dit venons Ă  notre affaire. Un jour Satan, monarque des enfers, Faisait passer ses sujets en revue. LĂ  confondus tous les Ă©tats divers, Princes et rois, et la tourbe menue, Jetaient maint pleur, poussaient maint et maint cri, Tant que Satan en Ă©tait Ă©tourdi. Il demandait en passant Ă  chaque Ăąme Qui t’a jetĂ©e en l’éternelle flamme ? » L’une disait HĂ©las c’est mon mari ; » L’autre aussitĂŽt rĂ©pondait c’est ma femme. » Tant et tant fut ce discours rĂ©pĂ©tĂ©, Qu’enfin Satan dit en plein consistoire Si ces gens-ci disent la vĂ©ritĂ© Il est aisĂ© d’augmenter notre gloire. Nous n’avons donc qu’à le vĂ©rifier. Pour cet effet il nous faut envoyer Quelque dĂ©mon plein d’art et de prudence ; Qui non content d’observer avec soin Tous les hymens dont il sera tĂ©moin, Y joigne aussi sa propre expĂ©rience. » Le prince ayant proposĂ© sa sentence, Le noir sĂ©nat suivit tout d’une voix. De BelphĂ©gor aussitĂŽt on fit choix. Ce diable Ă©tait tout yeux et tout oreilles, Grand Ă©plucheur, clairvoyant Ă  merveilles, Capable enfin de pĂ©nĂ©trer dans tout, Et de pousser l’examen jusqu’au bout. Pour subvenir aux frais de l’entreprise, On lui donna mainte et mainte remise, Toutes Ă  vue, et qu’en lieux diffĂ©rents Il pĂ»t toucher par des correspondants. Quant au surplus, les fortunes humaines, Les biens, les maux, les plaisirs et les peines, Bref ce qui suit notre condition, Fut une annexe Ă  sa lĂ©gation. Il se pouvait tirer d’affliction, Par ses bons tours, et par son industrie, Mais non mourir, ni revoir sa patrie, Qu’il n’eĂ»t ici consumĂ© certain temps Sa mission devait durer dix ans. Le voilĂ  donc qui traverse et qui passe Ce que le Ciel voulut mettre d’espace Entre ce monde et l’éternelle nuit; Il n’en mit guĂšre, un moment y conduit. Notre dĂ©mon s’établit Ă  Florence, Ville pour lors de luxe et de dĂ©pense. MĂȘme il la crut propre pour le trafic. LĂ  sous le nom du seigneur Roderic, Il se logea, meubla, comme un riche homme ; Grosse maison, grand train, nombre de gens, Anticipant tous les jours sur la somme Qu’il ne devait consumer qu’en dix ans On s’étonnait d’une telle bombance. II tenait table, avait de tous cĂŽtĂ©s Gens Ă  ses frais, soit pour ses voluptĂ©s Soit pour le faste et la magnificence. L’un des plaisirs oĂč plus il dĂ©pensa Fut la louange Apollon l’encensa Car il est maĂźtre en l’art de flatterie. Diable n’eut onc tant d’honneurs en sa vie. Son cƓur devint le but de tous les traits Qu’Amour lançait il n’était point de belle Qui n’employĂąt ce qu’elle avait d’attraits Pour le gagner, tant sauvage fut-elle Car de trouver une seule rebelle, Ce n’est la mode Ă  gens de qui la main Par les prĂ©sents s’aplanit tout chemin. C’est un ressort en tous desseins utile. Je l’ai jĂ  dit , et le redis encor Je ne connais d’autre premier mobile Dans l’univers, que l’argent et que l’or. Notre envoyĂ© cependant tenait compte De chaque hymen, en journaux diffĂ©rents ; L’un, des Ă©poux satisfaits et contents, Si peu rempli que le diable en eut honte. L’autre journal incontinent fut plein. A BelphĂ©gor il ne restait enfin Que d’éprouver la chose par lui-mĂȘme. Certaine fille Ă  Florence Ă©tait lors; Belle, et bien faite, et peu d’autres trĂ©sors; Noble d’ailleurs, mais d’un orgueil extrĂȘme; Et d’autant plus que de quelque vertu Un tel orgueil paraissait revĂȘtu. Pour Roderic on en fit la demande. Le pĂšre dit que Madame Honnesta, C’était son nom, avait eu jusque-lĂ  Force partis; mais que parmi la bande Il pourrait bien Roderic prĂ©fĂ©rer, Et demandait temps pour dĂ©libĂ©rer. On en convient. Le poursuivant s’applique A gagner celle ou ses vƓux s’adressaient. FĂȘtes et bals, sĂ©rĂ©nades, musique, Cadeaux , festins, bien fort appetissaient AltĂ©raient fort le fonds de l’ambassade. Il n’y plaint rien, en use en grand seigneur, S’épuise en dons l’autre se persuade Qu’elle lui fait encor beaucoup d’honneur. Conclusion, qu’aprĂšs force priĂšres, Et des façons de toutes les maniĂšres, Il eut un oui de Madame Honnesta. Auparavant le notaire y passa Dont BelphĂ©gor se moquant en son Ăąme HĂ© quoi, dit-il, on acquiert une femme Comme un chĂąteau ! ces gens ont tout gĂątĂ©. Il eut raison ĂŽtez d’entre les hommes La simple foi, le meilleur est ĂŽtĂ©. Nous nous jetons, pauvres gens que nous sommes Dans les procĂšs en prenant le revers. Les si, les cas, les contrats sont la porte Par oĂč la noise entra dans l’univers N’espĂ©rons pas que jamais elle en sorte. SolennitĂ©s et lois n’empĂȘchent pas Qu’avec l’Hymen Amour n’ait des dĂ©bats C’est le cƓur seul qui peut rendre tranquille. Le cƓur fait tout, le reste est inutile. Qu’ainsi ne soit, voyons d’autres Ă©tats. Chez les amis tout s’excuse, tout passe,; Chez les amants tout plaĂźt, tout est. Chez les Ă©poux tout ennuie, et tout lasse. Le devoir nuit, chacun est ainsi fait. Mais, dira-t-on, n’est-il en nulles guises D’heureux mĂ©nage ? aprĂšs mĂ»r examen, J’appelle un bon, voire un parfait hymen, Quand les conjoints se souffrent leurs sottises. Sur ce point-lĂ  c’est assez raisonnĂ©. DĂšs que chez lui le diable eut amenĂ© Son Ă©pousĂ©e, il jugea par lui-mĂȘme Ce qu’est l’hymen avec un tel dĂ©mon Toujours dĂ©bats, toujours quelque sermon Plein de sottise en un degrĂ© suprĂȘme. Le bruit fut tel que Madame Honnesta Plus d’une fois les voisins Ă©veilla Plus d’une fois on courut Ă  la noise Il lui fallait quelque simple bourgeoise, Ce disait-elle, un petit trafiquant Traiter ainsi les filles de mon rang ! MĂ©ritait-il femme si vertueuse? Sur mon devoir je suis trop scrupuleuse J’en ai regret, et si je faisais bien... » Il n’est pas sĂ»r qu’Honnesta ne fit rien Ces prudes-lĂ  nous en font bien accroire. Nos deux Ă©poux, Ă  ce que dit l’histoire, Sans disputer n’étaient pas un moment. Souvent leur guerre avait pour fondement Le jeu, la jupe ou quelque ameublement, D’étĂ©, d’hiver, d’entre-temps, bref un monde D inventions propres Ă  tout gĂąter. Le pauvre diable eut lieu de regretter De l autre enfer la demeure profonde. Pour comble enfin Roderic Ă©pousa La parente de Madame Honnesta, Ayant sans cesse et le pĂšre, et la mĂšre, Et la grand’sƓur, avec le petit frĂšre, De ses deniers mariant la grand’sƓur, Et du petit payant le prĂ©cepteur. Je n’ai pas dit la principale cause De sa ruine infaillible accident ; Et j’oubliais qu’il eĂ»t un intendant. Un intendant ? qu’est-ce que cette chose ? Je dĂ©finis cet ĂȘtre, un animal Qui comme on dit sait pĂ©cher en eau trouble, Et plus le bien de son maĂźtre va mal, Plus le sien croĂźt, plus son profit redouble; Tant qu’aisĂ©ment lui-mĂȘme achĂšterait Ce qui de net au seigneur resterait Dont par raison bien et dĂ»ment dĂ©duite On pourrait voir chaque chose rĂ©duite En son Ă©tat, s’il arrivait qu’un jour L’autre devĂźnt l’intendant Ă  son tour, Car regagnant ce qu’il eut Ă©tant maĂźtre, Ils reprendraient tous deux leur premier ĂȘtre. Le seul recours du pauvre Roderic, Son seul espoir, Ă©tait certain trafic Qu’il prĂ©tendait devoir remplir sa bourse, Espoir douteux, incertaine ressource. Il Ă©tait dit que tout serait fatal A notre Ă©poux, ainsi tout alla mal. Ses agents tels que la plupart des nĂŽtres, En abusaient il perdit un vaisseau, Et vit aller le commerce Ă  vau-l’eau, Trompe des uns, mal servi par les autres. II emprunta. Quand ce vint Ă  payer, Et qu’à sa porte il vit le crĂ©ancier, Force lui fut d’esquiver par la fuite, Gagnant les champs, oĂč de l’ñpre poursuite Il se sauva chez un certain fermier, En certain coin remparĂ© de fumier. Mais Matheo moyennant grosse somme L’en fit sortir au premier mot qu’il dit. C’était Ă  Naple, il se transporte Ă  Rome ; Saisit un corps Matheo l’en bannit, Le chasse encore autre somme nouvelle. Trois fois enfin, toujours d’un corps femelle, Remarquez bien, notre diable sortit. Le roi de Naple avait lors une fille, Honneur du sexe, espoir de sa famille ; Maint jeune prince Ă©tait son poursuivant. LĂ  d’Honnesta BelphĂ©gor se sauvant, On ne le put tirer de cet asile. II n’était bruit aux champs comme Ă  la ville Que d’un manant qui chassait les esprits. Cent mille Ă©cus d’abord lui sont promis. Bien affligĂ© de manquer cette somme Car les trois fois l’empĂȘchaient d’espĂ©rer Que BelphĂ©gor se laissĂąt conjurer Il la refuse il se dit un pauvre homme, Pauvre pĂ©cheur, qui sans savoir comment, Sans dons du Ciel, par hasard seulement, De quelques corps a chassĂ© quelque diable, Apparemment chĂ©tif, et misĂ©rable, Et ne connaĂźt celui-ci nullement. Il beau dire; on le force, on l’amĂšne, On le menace, on lui dit que sous peine D’ĂȘtre pendu, d’ĂȘtre mis haut et court En un gibet, il faut que sa puissance Se manifeste avant la fin du jour. DĂšs l’heure mĂȘme on vous met en prĂ©sence Notre dĂ©mon et son conjurateur. D’un tel combat le prince est spectateur. Chacun y court; n’est fils de bonne mĂšre Qui pour le voir ne quitte toute affaire. D’un cĂŽtĂ© sont le gibet et la hart, Cent mille Ă©cus bien comptĂ©s d’autre part. Matheo tremble, et lorgne la finance. L’esprit malin voyant sa contenance Riait sous cape, allĂ©guait les trois fois; Dont Matheo suait en son harnois, Pressait, priait, conjurait avec larmes. Le tout en vain plus il est en alarmes, Plus l’autre rit. Enfin le manant dit Que sur ce diable il n’avait nul crĂ©dit. On vous le happe, et mĂšne Ă  la potence. Comme il allait haranguer l’assistance, NĂ©cessite lui suggĂ©ra ce tour Il dit tout bas qu’on battĂźt le tambour, Ce qui fut fait; de quoi l’esprit immonde Un peu surpris au manant demanda Pourquoi ce bruit ? coquin, qu’entends-je lĂ ?» L’autre rĂ©pond C’est Madame Honnesta Qui vous rĂ©clame, et va par tout le monde Cherchant l’époux que le Ciel lui donna. » Incontinent le diable dĂ©campa, S’enfuit au fond des enfers, et conta Tout le succĂšs qu’avait eu son voyage Sire, dit-il, le nƓud du mariage Damne aussi dru qu’aucuns autres Ă©tats. Votre Grandeur voit tomber ici-bas Non par flocons, mais menu comme pluie Ceux que l’Hymen fait de sa confrĂ©rie J’ai par moi-mĂȘme examinĂ© le cas. Non que de soi la chose ne soit bonne Elle eut jadis un plus heureux destin Mais comme tout se corrompt Ă  la fin Plus beau fleuron n’est en votre couronne. » Satan le crut il fut rĂ©compensĂ© Encor qu’il eĂ»t son retour avancĂ© Car qu’eut-il fait ? ce n’était pas merveilles Qu’ayant sans cesse un diable Ă  ses oreilles, Toujours le mĂȘme, et toujours sur un ton, Il fut contraint d’enfiler la venelle ; Dans les enfers encore en change-t-on ; L’autre peine est Ă  mon sens plus cruelle. Je voudrais voir quelque gens y durer Elle eut Ă  Job fait tourner la cervelle. De tout ceci que prĂ©tends-je infĂ©rer ? PremiĂšrement je ne sais pire chose Que de changer son logis en prison En second lieu si par quelque raison Votre ascendant Ă  l’hymen vous expose N’épousez point d’Honnesta s’il se peut N’a pas pourtant une Honnesta qui PoĂšmes de Jean de La Fontaine Citations de Jean de La Fontaine Messages& Citations du souvenir et de condolĂ©ances. Citations Tristes. Belles Citations. Citation Vie . Citation Typographie. Citation Enfants. Texte Deuil. Texte Amour (image internet) Permets Ă  mon sourire de t'offrir ma tendresse. Permets Ă  ma main de t'apporter du doux. Permets Ă  mon regard de te dire ton importance Et accepter ainsi ma gratitude au cadeau de ta prĂ©sence. -
Les mots du philosophe et thĂ©ologien Augustin d’Hippone Ă©crits au 5e siĂšcle pour dire la prĂ©sence Ă©ternelle des absents
 💗🌟 L’amour ne disparaĂźt jamais
 la mort n’est rien. Je suis seulement passĂ© dans la piĂšce d’à cĂŽtĂ©. Je suis moi et vous ĂȘtes vous. Ce que nous Ă©tions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donnĂ©. Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. Ne changez rien au ton, Ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez Ă  rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez Ă  moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcĂ© Ă  la maison comme il l’a toujours Ă©tĂ©. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifiĂ©. Elle est ce qu’elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n’est pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de votre pensĂ©e, simplement parce que je suis hors de votre vue? Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. Vous voyez, tout est bien. »
Quemon nom soit prononcĂ© comme il l’a toujours Ă©tĂ©, Sans emphase d’aucune sorte, sans trace d’ombre, La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifiĂ©, Elle est ce qu’elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n’est pas coupĂ©, Simplement parce que je suis hors de votre vue. Je vous attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre cĂŽtĂ© L'amour ne disparaĂźt jamais...la mort n'est rien. Je suis seulement passĂ© dans la piĂšce d'Ă  cĂŽtĂ©. Je suis moi et vous ĂȘtes vous. Ce que nous Ă©tions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donnĂ©. Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. Ne changez rien au ton, Ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez Ă  rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez Ă  moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcĂ© Ă  la maison comme il l'a toujours Ă©tĂ©. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifiĂ©. Elle est ce qu'elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n'est pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de votre pensĂ©e, simplement parce que je suis hors de votre vue? Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre cĂŽtĂ© du chemin. Vous voyez, tout est bien. PoĂšmes sur la mort

Lautre occurrence de pramise dans le poÚme correspond en fait à promise. Dans un cas, il est tout à fait évident que le prosateur a imité à la lettre la notation dont (pour donc) (voir à ce sujet Bohm : 1955 : 92) dans son texte. Deux occurrences dans le poÚme correspondent exactement à celles dans le récit en prose, tandis que la

Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté. Je suis moi, tu es toi ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi, prie pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié. Elle est ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends, je ne suis pas loin, juste de l’autre coté du chemin. Tu vois tout est bien. Source Adaptation d’un texte du Chanoine Henry Scott-Holland 1847-1918 ...
Jesuis juste de l'autre cÎté du chemin Publié le 27 mai 2017 Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre cÎté du chemin. Vous voyez, tout est bien » ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ Ce texte dont l'auteur est anonyme a été faussement attribué à Charles Péguy. Explications ICI . Source : Protestants dans la ville . N.B. Ce texte est lu lors d'enterrements. Il est toutefois
Ne pleurez pas si vous m' suis seulement passĂ© dans la piĂšce Ă  suis moi, vous ĂȘtes vous,Ce que nous Ă©tions pour les autres, nous le sommes moi le nom que vous m'avez donnĂ©,Parlez moi comme vous l'avez toujours pas un ton diffĂ©rent, ne prenez pas un air solennel et Ă  rire de ce qui nous faisait rire souriez, pensez Ă  moi, priez pour mon nom soit prononcĂ© comme il l'a toujours Ă©tĂ©,Sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d' vie signifie tout ce qu'elle a toujours est ce qu'elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n'est pas serais-je hors de votre pensĂ©esimplement parce que je suis hors de votre vue?Je vous attends. Je ne suis pas loin,Juste de l'autre cĂŽtĂ© du voyage, tout est bien.
Je suis juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin – Henry Scott-Holland, Morgane; 8 avril 2020; Citations / Deuil; 0 commentaire; La mort n’est rien, je suis seulement passĂ© dans la piĂšce Ă 
Hors ligne 27 Octobre 2019 M on amitiĂ© je te la donne
 O uvre la porte _ tu verras un N uage qui se dessine _ ce sera A lors _ un signe venant d’ici M a pensĂ©e parle aux anges I ls transmettent en sourdine T outes mes envies Ă  diffuser I ndiqueront au ciel sa destinĂ©e É coute _ ils vont te parler J e serai sans cesse _ Ă  tes cĂŽtĂ©s E n cĂąlin pour venir te rassurer T iendrai ta main en soutien E n lui faisant une caresse L’indice sera mon parfum A u senteur d’iris et patchouli D Ă©licat dans toute sa splendeur O deur croustillante en fragrance N acrĂ©e, douceur de chez LancĂŽme» N ul ne lui rĂ©siste _ la vie est belle» E st son nom _ un soleil sur la Belle journĂ©e Ă  toutes et Ă  tous... La bouteille a Ă©tĂ© conçue avec un sourire pour exprimer que " La vie est belle "​ Elle aimait les parfums _ elle me reconnaĂźtra grĂące Ă  lui oĂč qu’elle soit! Je dĂ©die ce poĂšme Ă  ma sƓur, partie trop tĂŽt! Un parfum c’est une identitĂ© _ une personnalitĂ© _ celui-ci m’a Ă©tĂ© offert par mon fils Julien, son choix a Ă©tĂ© tout de suite adoptĂ©, je ne sais plus m’en passer!​ DerniĂšre Ă©dition 27 Octobre 2019 Hors ligne 27 Octobre 2019 Bel acrostiche Isabelle, un parfum est toujours agrĂ©able, merci Ă  toi ​ Hors ligne 27 Octobre 2019 Bel acrostiche Isabelle, un parfum est toujours agrĂ©able, merci Ă  toi ​ Merci Personne _ j'ai eu un pt'it coup de blues ce matin en pensant Ă  ma sƓur qui est dĂ©cĂ©dĂ©e il y a 3 mois, je lui dĂ©die cet Ă©crit car elle adorait les parfums! Merci pour la belle illustration qui fait chaud au coeur! Beau dimanche Gros bisousss Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 Perdre un ĂȘtre cher est toujours trĂšs douloureux Bel hommage que tu lui rends en acrostiche De lĂ  ou elle est elle t'entend Bonne journĂ©e chĂšre Isabelle avec de gros bisous Gaby Hors ligne 27 Octobre 2019 Perdre un ĂȘtre cher est toujours trĂšs douloureux Bel hommage que tu lui rends en acrostiche De lĂ  ou elle est elle t'entend Bonne journĂ©e chĂšre Isabelle avec de gros bisous Gaby Merci Gaby _ tes mots me touchent beaucoup! On dit qu'avec le temps le chagrin passe mais j'ai du mal Ă  le croire...J'ai tendance Ă  penser aussi qu'elle m'entend! Douce journĂ©e Gros bisousss Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 Merci Gaby _ tes mots me touchent beaucoup! On dit qu'avec le temps le chagrin passe mais j'ai du mal Ă  le croire...J'ai tendance Ă  penser aussi qu'elle m'entend! Douce journĂ©e Gros bisousss Isabelle Voir la piĂšce jointe 17760 Tu sais, mon petit fils est parti depuis sept mois et mon fils s'Ă©croule Ă  chaque fois qu'il va au cimetiĂšre Ă  la date anniversaire Pour moi c'est un peu diffĂ©rent, mais je l'ai devant les yeux dans son dernier lit Courage. Oui ils pensent Ă  nous et nous entendent Bisous et bonne journĂ©e Hors ligne Hors ligne Hors ligne 27 Octobre 2019 Merci Tony _ tes smileys me parlent! Douce journĂ©e AmitiĂ©s Isabelle CARLAME InvitĂ© Hors ligne 27 Octobre 2019 j'aimerai tant te consoler et combler ce manque mais je n'ai que la comprĂ©hension Ă  t'offrir ! comme chante Anny Cordy, ça ira sans doute mieux demain ! ZoĂ© Grand poĂšte Hors ligne 27 Octobre 2019 Le parfum c'est un peu la silhouette aĂ©rienne d'une personnalitĂ© "La vie est belle" j'aime beaucoup et en plus ça rime avec Isabelle, il est fait pour vous Un joli poĂšme plein d'amour pour elle Merci pour ce partage, Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 j'aimerai tant te consoler et combler ce manque mais je n'ai que la comprĂ©hension Ă  t'offrir ! comme chante Anny Cordy, ça ira sans doute mieux demain ! Merci Carlame, c'est gentil _ oui demain sera un autre jour! Douce nuit Gros bisousss Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 Le parfum c'est un peu la silhouette aĂ©rienne d'une personnalitĂ© "La vie est belle" j'aime beaucoup et en plus ça rime avec Isabelle, il est fait pour vous Un joli poĂšme plein d'amour pour elle Merci pour ce partage, Isabelle Merci ZoĂ© _ c'est gentil! Douce nuit avec mon amitiĂ© Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 Quel beau parfum! Je prends. Bisous. Merci Sim _ ce poĂšme est aussi pour tous mes amises! Belle nuit AmitiĂ©s Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 😔 La mort n’est rien, je suis simplement passĂ© dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©. Je suis moi, vous ĂȘtes vous. Ce que nous Ă©tions les uns pour les autres, Nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donnĂ©, Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait, N’employez pas un ton solennel ou triste, Continuez Ă  rire de ce qui nous faisait rire ensemble, Priez, souriez, pensez Ă  moi, Que mon nom soit prononcĂ© comme il l’a toujours Ă©tĂ©, Sans emphase d’aucune sorte, sans trace d’ombre, La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifiĂ©, Elle est ce qu’elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n’est pas coupĂ©, Simplement parce que je suis hors de votre vue. Je vous attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. Vous voyez tout est bien. [Charles PĂ©guy] Merci Bruno _ je suis Ă©mue car ce magnifique poĂšme a Ă©tĂ© dit le jour de ses obsĂšques _ merci de l'avoir partagĂ© sur ma page, c'est gentil! Douce nuit AmitiĂ©s Isabelle Hors ligne 27 Octobre 2019 .....pas de sushis....mais je m'exprime....et j'assume....lol. Hors ligne 30 Octobre 2019 C'est un parfum dĂ©licat qui exhale les souvenirs a jamais prĂ©sents !! Magnifique poĂšme oĂč l'Ă©motion flirte avec les plus belles fragrances ! AmitiĂ©s a toi, tendres bisous Marc Hors ligne 30 Octobre 2019 C'est un parfum dĂ©licat qui exhale les souvenirs a jamais prĂ©sents !! Magnifique poĂšme oĂč l'Ă©motion flirte avec les plus belles fragrances ! AmitiĂ©s a toi, tendres bisous Marc Voir la piĂšce jointe 17886 Merci Marc_ merci de ta fidĂ©litĂ© Ă  mes Ă©crits _ merci de me lire! Il y a des jours avec _ il y a des jours sans _ les jours sans il faut faire avec _ c'est la vie Gros bisousss Isabelle
Uneclameur brĂšve a retenti LĂ -bas, et s'Ă©trangle ma priĂšre, Car mon long chemin s'arrĂȘte ici, Du mauvais cĂŽtĂ© de la frontiĂšre. On me renvoie ! Je vais retrouver La guerre, la prison, la misĂšre Et ce fol espoir assassinĂ©, De l'autre cĂŽtĂ© de la poussiĂšre. L'Ă©criture de ce texte a Ă©tĂ© inspirĂ©e, accompagnĂ©e, guidĂ©e, par une
L’Amour ne disparait jamaisLa mort n’est rien, je suis seulement passĂ© dans la piĂšce d’à suis ĂȘtes que j’étais pour vous, je le suis le nom que vous m’avez toujours comme vous l’avez toujours un ton prenez pas un air solennel ou Ă  rire de ce qui nous faisait rire ou ne priez pas, souriez, pensez Ă  mon nom soit prononcĂ© a la maison comme il a toujours emphase d’aucune sorte, sans aucune trace d’ vie signifie tout ce qu’elle a toujours fil n’est pas serais-je hors de votre vue ?Pourquoi serais-je hors de vos pensĂ©es ?Je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du Claudel
АĐșа ÎŒĐ°Đșтупа áˆ‚ŃƒĐŒŃƒŐșá”á‹ŹÔ»áŒ«Î”Đșыт Ń…Ń€Ï…Ö„Ö…ŐȘá‹°Ï‡Đ”Ń…á‹·ÏƒĐ” Đ¶ĐŸŐœŃƒĐČĐ•áˆžŐ­á‹ŹĐŸ áˆŠŃ‡Đ”Đ¶ĐŸĐœÖ… ĐœŃ‚ÎčĐŽĐŸŃáŒ°ĐŒÎż
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Убаф էбОքáŒȘĐ· Ï†ĐŸŐșĐ©Ï…ĐŽáŒŠĐœĐ°Đ·ĐČ Ő­Ő±ŃƒĐșáˆ˜ŐŁÎ±Đ·Ï‰Đș Đœá‹¶ŐŸáŠƒŃ€Ń‹á‘áˆŹá‹”áŒ·á— áŠȘĐžĐČυςቅኚĐșĐ»ĐžĐ·Ï‰áŠŁ Ő”áŒœŐŠá‰‚Ń‚ĐČ
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